Souvenirs de guerre

ans. Je suis arrivé le : 14/09/2023

Souvenirs de guerre - feat Logan

Excepteur sint occaecat cupidatat non proident

J’étais sur les derniers préparatifs de ma soirée avec Noham, tout était presque prêt, je n’avais plus que quelques détails à régler et je n’aurais plus qu’à l’inviter officiellement à notre nouveau premier rencard. J’avais hâte je dois dire, même si j’ai peur au final qu’il s’attende à mieux de ma part, je ne me souviens pas de ce que j’ai bien pu lui préparer comme surprises par le passé alors peut être que celle-ci ne sera pas à la hauteur de ses attentes. Je dois dire que ça m’angoisse particulièrement, mais j’essaie de rester positif, il le faut. Je rentrais chez nous à pied, ça me fait du bien de marcher et je découvre en même temps Los Angeles. Sans que je comprenne pourquoi deux jeunes femmes se dirigent vers moi. “Merci pour ce que tu fais, c’est trop cool ! T’es mignon en photo, mais encore plus en vrai.” Je sourit par politesse, mais je ne comprends pas de quoi elles parlent. “Vous devez me prendre pour quelqu’un d’autre désolé.” Elle regarde sa copine parce qu’elle semble pourtant bien sûr d’elle. “On vient de te voir au coin de la rue, y a tout un tas de photos sur toi et d’autres soldats.” Je dois dire que je ne comprend pas trop ce qui se passe là tout de suite. Je pars donc dans la direction qu’elles m’ont indiqué et rendre dans une sorte de petite galerie ou il y a en ce moment une exposition sur la guerre et la vie des soldats plus particulièrement. Certains visages me semblent familiers, ça me provoque des flashs très rapides puis je pose enfin les yeux sur moi et là je ne sais pas ce qui se passe c’est comme si je retournais dans mon cauchemars, mais tout en étant éveillé. J’entends le sifflement des balles, les explosions proches de nous. J’entend diverses voix donner des indications. La pièce se met à tourner et j’ai le cœur battant. Me voir une arme à la main sur une autre photo me coupe le souffle, ça semble si évident, j’ai déjà dû tirer sur des gens, j’ai dû en tuer et je ne sais pas pourquoi cette vérité me revient en pleine face tout à coup. “J’arrive pas à respirer..” Je me laisse tomber au sol, de toute manière la pièce bouge beaucoup trop. J’essaie d’attraper mon téléphone pour appeler Noham, mais je tremble tellement que je n’y arrive pas.

acidbrain

ans. Je suis arrivé le : 15/09/2023

feat @Nolan H. Jaeger

J'étais un grand photographe de guerre. Certaine de mes photos devaient faire partit d'une exposition. Bien sur, j'avais demander à chaque persone que j'avais pris en photo de signé des autorisations. Alors, oui ce trouvant dans l'exposition était ceux qui avait signé. Ce que je savais pas c'est ce que certain avait été renvoyé chez eux avec des problèmes d'amnésie ou autre problème. Il faut dire que j'avais été blesser par des tires et oui je m'était retrouvé dans la ligne de mire enfin un ricocher.

J'avais donc installer les photos, pour montrer au gens ce que fait nos militaire. Après tout beaucoup juge et tous ne se rende pas compte de l'enfer ou nos hommes et femmes vivent dans ses campagnes. Bien sur j'avais aussi montrer des photos ou les hommes et les femmes joue avec les habitants du coin en les aidants. J'étais en train d'observer les gens qui me demandait si c'était pas des montages. Qui voulait les histoires des personnes et je refuse parce que pour moi c'était la vie privé. C'est la ou je vois un attroupement et des gens en train de prendre des photos d'une personne. J'arrive et dit d'une voix assez sèche au gens en leur disant de s'occupé de leur affaire. Puis s'approche du jeune homme et le reconnais grace au photo qui se trouve à côté.

«Allons dans le bureau de la gallerie pour que vous puissez calmé votre crise d'angoisse. »

KoalaVolant

ans. Je suis arrivé le : 14/09/2023

Souvenirs de guerre - feat Logan

Excepteur sint occaecat cupidatat non proident

En tant qu’amnésique je sais que je serais encore amené à découvrir des choses sur moi, j’en suis pleinement conscient. C’est même difficile de se dire que certaines personnes me connaissent mieux que je ne me connais moi. J’ai de plus en plus de flashs qui me reviennent, mais on ne peut pas dire que la mémoire me revienne. De plus je ne peux pas être certain qu’ils proviennent de véritables souvenirs, parfois j’ai l’impression que ça peut aussi être mon imagination. Cette fois, j'ai découvert mon visage sur des photos. Une exposition sur la guerre, c’était une sensation vraiment particulière, comme voir quelqu’un d’autre mais avec son propre visage. J’ai aussi pris conscience de tout ce que ça voulait dire d’être soldat, me voir tirer, me voir non loin de cadavres. Rien que l’idée d’avoir probablement déjà ôté la vie de quelqu’un ça me rendait malade. J’étais en pleine crise identitaire et ça c’est traduit par une grosse crise d’angoisse. Je n’arrivais plus à respirer correctement, j’essayais d’appeler Noham, mais je tremblais trop pour ça. Le pire dans tout ça ? La bêtise humaine.. Les gens autour de moi préféraient prendre des photos et des vidéos plutôt que de m’aider. J’avais donc baisser la tête, mes bras autour comme pour me protéger. « Allons dans le bureau de la gallerie pour que vous puissez calmé votre crise d'angoisse. » Ca c’était beaucoup m’en demander, je ne contrôle plus mon corps à l’heure actuelle. Cette impression de suffocation est horrible. J’ai la tête qui tourne. J’arrive maladroitement à lui tendre mon téléphone en essayant de prononcer un prénom. “No.. Noham..” Je voulais qu’il l’appelle, il n’y a que Noham qui arrivera à me faire redescendre. Je crois qu’il lui a expliqué la situation et il m’a donné le téléphone. Le tenir c’était difficile alors je l’ai posé par terre et je me suis allongé, mon oreille contre le téléphone. Je pouvais difficilement répondre à ses questions, je me concentrais surtout sur sa voix, elle me rassurait. Je suis incapable de vous dire ce qu’il m’a dit, cela a durait un bon quart d’heure. Je me suis doucement détendu, ma respiration était plus calme. Je n’avais plus cette impression de mort imminente et c’était déjà une bonne chose. J’ai enfin réussi à lui donner ma position et il m’expliqua se mettre en route. La communication terminée, je me suis doucement redressé. J’ai tourné la tête vers cet homme. “Merci..” Il n’aurait rien pu faire directement pour moi. “Je peux marcher.. Je pense..” Il m’aida à me redresser et on a pu rejoindre son bureau. J’avais encore les jambes tremblantes, je fus content quand j’ai pu m’asseoir sur une chaise.

acidbrain

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