C'est si facile - Miguel

Delia avait atterit il y a quelques jours, elle avait réservé un hôtel, bon pas un hotel de pauvre, non non elle se payait le luxe et ça c’était clairement à cause de tous ses petits jobs qu’elle avait fait. Elle avait fait ses petites recherches pour savoir ou son géniteur vivait et il avait un méga domaine, donc pour le moment, elle avait sa chambre pour la semaine, mais après sa petite surprise à son père, elle comptait bien essayer de se trouver un trou ici, après tout c’était à elle aussi, comme ça appartenait à son père.

En vivant ici à 0$ ça ferait en sorte qu’elle pourrait garder ses économies plus longtemps et donc faire sa vie, pour le moment ici, elle avait donc profiter largement de la ville, soirée, bar, elle les connaissait déjà presque par cœur, elle avait déjà fracasser le nez de deux garçons qui avaient été un peu trop insistants et maintenant on l’a respectait dans certains bar, elle avait même parler avec des filles, ou certains propriétaire depuis.

Son anglais lui servait très bien ici, alors bon il était l’heure de la surprise, elle avait donc réussit, après quelques observations à voir ou était la faille de sécurité et elle avait donc réussit à s’infiltrer ici, elle était assise sur le bord de la piscine, elle portait un bikini, avait mit de la crème solaire, avait son livre dans les mains, parce qu’elle venait d’aller se baigner un peu et là elle profitait du soleil, bien que moins chaud qu’au Mexique, c’était très bon. Elle ne savait pas si son géniteur allait bientôt arrivé, mais elle avait bien hâte de le voir, enfin lui voir le visage !

Delia n’avait aucune idée de ce que son père vivait ou pas comme difficulté et honnêtement elle s’en foutait clairement autant que lui d’elle, alors aussi bien dire que ça ne changeait rien dans sa vie. Enfin bref, voilà donc qu’elle s’était loué un hôtel, qu’elle avait découvert un peu la ville, parler à certains habitants et elle se débrouillait avec le peu d’éducation qu’elle avait reçu de son oncle, parce qu’on rappel que pour son père l’éducation et encore plus des femmes il s’en fout, elles ne servent pas à ça, mais Deli avait un caractère qui était beaucoup trop bien trempé pour faire que ce petit rôle de femme au foyer, elle s’était déjà défendu plusieurs fois, avait frapper et oui elle ne comptait pas se laisser marcher sur les pieds.

Après tout, elle était à LA, sur le domaine de son paternel, donc le sien aussi un peu en même temps et pour son plus grand bonheur, elle profitait de la chaleur, et elle comptait bien sûr finir dans la piscine quand elle aurait vraiment trop chaud ou juste pour se rafraîchir. Bon elle venait de le faire, donc ça attendrait quand même un peu, mais elle était plutôt heureuse d’avoir déjoué les super gardes de son père. Après tout, elle les avait beaucoup trop souvent observé pour ne pas voir les difficultés, mais surtout ils semblaient moins se méfier ici qu’au Mexique.

Alors que son père si paternel s’adressa à elle, elle se retourna avec un large sourire sur les lèvres ! « Quoi ? tu ne me reconnais pas ?  Pourtant tu devrais » Dit-elle avec beaucoup de sarcasme, un franc parler et donc clairement pas une de ses filles que son père se commandait qui était docile ! Pendant que son père engueulait son super Sebastien, elle avait bien sûr rigolé un peu, avant de le regarder donc « Je suis sortie de tes couilles, mais c’est normal que tu ne me reconnaisses pas, je ne sais même pas si tu sais combien on est, mais si tu trouves mon prénom peut-être que je te dirai mon âge. Je voulais voir dans quel domaine on allait cohabiter maintenant ! C’est différent qu’au Mexique, mais bon ! » Dit-elle en souriant et en le regardant toujours ce large sourire !

Delia quant à elle, trouvait ce manoir magnifique, elle espérait clairement que son père, pour avoir la paix finirait par accepter sa demander de vivre ici, bon après ça lui appartenait comme décision bien sûr. Cependant, elle savait se montrer plutôt têtue. En plus, Delia s’était clairement amusé à lui parler en anglais, parce que bon c’était drôle, de le voir chercher qui elle était.

Quand son père l’appela machine c’était presque un honneur pour sa part, parce que non il ne l’a connaissait pas, et elle le savait. « Hors de question que je repartes au Mexique, je suis venu ici pour vivre ici. Je sais que tu t’en fiches, ce n’est pas une grande nouvelle » elle le fixait sans même broncher, profitant du soleil en même temps.

« Je n’ai jamais révélé mon vrai nom, sauf une fois je crois que ce gars a peur de toi, mais je m’en fiche, en gros, j’ai payer pour sortir quand j’ai surpris une conversation que tu venais ici et je comptes bien en profiter ! Alors…tu me montres la chambre la plus loin de toi ? Je sais me faire petite, la preuve fait quelques temps que je profite de ta piscine et c’Est toi qui s’En ai rendu compte, pas eux papá» Dit-elle en rigolant doucement, plutôt fière d’elle ! Bon le papa elle l'avait dit en espagnol et il y avait un peu de sarcasme surtout.