Quand tout s’écroule feat Gabriel

Sujet: Quand tout s’écroule feat Gabriel Mar 9 Jan 2024 - 0:19

Quand tout s’écroule - feat Gabriel

Excepteur sint occaecat cupidatat non proident

La douleur était tellement insupportable que je n’avais pas pu resté dans mon lit, Gabriel aurait fini par se rendre compte de quelque chose à force de me sentir bouger. Cette nuit-là je me suis rendu jusqu’au salon et j’ai pleuré en silence. Je ne savais plus quoi faire, c’était insoutenable, il me fallait des médicaments. J’avais fini par trouver une personne qui pourrait m’en vendre, jusque-là j'avais gardé ça en dernier recours et c’était réellement le cas. J’ai passé un coup de fil à ce revendeur et je lui ai dit que j’en avais besoin pour le soir même. Il me donna une adresse et son prix. Je me sentais coupable, mais c’était la seule manière de m’en sortir. La journée a été incroyablement longue, j’ai fait croire à Gabriel que j’étais à la boutique toute la journée, mais en réalité je suis resté à la maison. J’étais presque incapable de marcher. Lilly était venu chercher Timéo pour l'après-midi, j’allais pouvoir me reposer. L’heure du rendez vous approcha, me rendre au lieu prévu ça a été compliqué, mais c’était pour qu’au final je souffre moins alors je me suis traîné. Le vendeur était là, à un coin de rue, l’argent était déjà prêt dans ma poche. Je me suis approché discrètement avec la capuche de mon sweat sur la tête. On a procédé à l’échange sauf que tout a très vite dégénéré. En quelques secondes, des policiers nous ont encerclés. J’ai paniqué.. Mes pensées vont à mon fils la tout de suite, je ne pouvais pas finir en prison.. J’ai donc repoussé le policier qui m’avait attrapé, il me mit une droite m’ouvrant l’arcade. Je suis tombé au sol, sonné, je ne sais pas si c’est ma tête ou mon genou qui me faisait le plus mal là tout de suite.. J’ai été embarqué au commissariat et placé dans une salle. Menottes aux poignets, attaché à une chaise. J’allais avoir de graves ennuis, j’en étais conscient. J’avais aussi conscience que j’allais tout perdre.. Jamais Gabriel n’acceptera ça, j’allais être une pure déception pour lui et j’étais quasiment sûr qu’il partirait. J’étais dans un état de stress, de culpabilité intense. Je me mordais l’intérieur de la joue et la lèvre, des larmes silencieuses coulent sur mes joues. Quand la porte s’est ouverte, j’ai su que c’était lui.. Je n’osais pas relever les yeux, je ne voulais pas lire de la déception dans son regard. “Je suis désolé..” Je ne savais pas vraiment quoi dire de plus. J’allais en plus certainement lui causer des ennuis et je ne voulais pas ça pour lui. Gabriel est un bon flic, son travail compte pour lui. Ma jambe correcte ne cessait de bouger tellement mon niveau de stress était haut.

acidbrain

Sujet: Re: Quand tout s’écroule feat Gabriel Dim 17 Mar 2024 - 23:41

Quand tout s'écroule ft @Alejandro L. De Luca

Je suis sur une affaire depuis un moment avec Dean et on avançait enfin, on avait une piste, rien de miraculeux mais c'était un pas. Nous sommes aller sur place dans l'espoir de trouver des indices, on ne pouvait pas continuer à stagner ainsi, d'autant plus qu une telle affaire nous rapporterait gros, ce n'est pas un petit trafic, d'autant plus que nous soupçonnons fortement que le trafic ne concerne pas que la drogue. Nous étions sur place quand nous avons été interrompus par un appel, c'était le poste qui me demandait de revenir immédiatement, j'avais cru comprendre qu’ Alejandro était là et qu'on l'avait arrêté. Je ne comprenais pas ça n'avais aucun sens, je n'avais sans doute rien compris. Je m'excuse auprès de mon coéquipier et prend le chemin inverse, arrivant rapidement au poste. imaginez ma surprise en trouvant Alejandro menottes à cette foutue chaise

- Vous le détachez maintenant !!

J'étais furieux, pourquoi ne m' avait -on pas appelé avant ? Tout le monde sait qu'il est mon compagnon et je ne comprends pas ce qu'il fait dans le poste d'une brigade de stup..mes collègues ont voulu m' expliquer mais je leur ai fait signe de se taire. Prenant les clefs je passe la porte pour rejoindre Alejandro qui prend directement la peine de s' excuser. Pourquoi qu'avait il fait ? Je viens lui retirer les menottes pour qu'il puisse bouger un peu, le regard a ne intrigué

- Pourquoi désolé ? Alejandro, dit moi pourquoi tu es menotté dans un poste des stups

Je ne savais pas vraiment quoi penser de la situation mais en même temps je n'avais pas m'aider à mes collègues le temps de m'expliquer, je voulais avoir sa version à lui, ca ne peut tout de même pas être des stupéfiant, pas Alejandro, je le connais il ne ferais pas ça… je crois..

AVENGEDINCHAINS

Sujet: Re: Quand tout s’écroule feat Gabriel Mar 19 Mar 2024 - 9:30

Quand tout s’écroule - feat Gabriel

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J’avais l’impression que ma vie allait se finir la maintenant. Dans celle salle sombre, froide et silencieuse du poste de police. J’avais été arrêté comme un con en train d’acheter des antidouleurs à un dealer. Non mais sérieusement.. Comment j’avais pu être aussi idiot ? On allait me prendre mon fils, me mettre en prison et j’allais perdre Gabriel. Tout ça parce que j’avais été impatient et que j’avais enlevé ce fichu plâtre moi-même. La peur avait pris le pas sur la douleur pour l’instant, j’étais affreusement nerveux, perdu et dans l’attente. Je sais qu’ils ont appelé Gabriel, je suis dans les bureaux des stups en plus de ça, il allait avoir des ennuis à cause de moi. J’avais fini par entendre un peu d’agitation de l’autre côté de la vitre, il était là.. J’avais peur de l’affronter, j’avais aussi très honte. Quand il est entré, il m’a détaché de la chaise en premier lieu et je me suis immédiatement excusé. “Pourquoi désolé ? Alejandro, dit moi pourquoi tu es menotté dans un poste des stups.” Je me mords l’intérieur de la joue reniflant un peu. Ma main sur ma jambe remuante. La situation était trop grave pour que je ne lui dise pas la vérité. “J’ai menti. Ma jambe n’a jamais été mieux, j’ai essayé de faire au maximum avec les antidouleurs que j’avais, mais ça fait des jours que j’en ai plus. Je ne dors pas, j’ai des crises de douleurs horribles.. J’ai aussi des tremblements certainement du au manque, j’aurais du les prendre bien moins longtemps.. Je voulais juste que la douleur s’arrête.. Alors j’ai cherché où m’en procurer..” Je sais que si j’avais été chez un médecin, cela m’aurait été refusé et que j’aurais été diagnostiqué dépendant aux antidouleurs. Je suis resté dans le déni le plus longtemps possible. “Je pensais réussir à m’en sortir seul. Je ne voulais pas te causer d’ennuis, tu n’imagines pas à quel point j’ai honte.” J’ai enfin relevé mon regard vers lui, lui permettant aussi de voir ma blessure à l’arcade. Je dois dire que la douleur était bien moins difficile à supporter. “Pardonne moi.” Je sais que j’aurai dû lui demander de l’aide, mais ce n’est pas dans ma nature, j’ai mon petit ego et je ne veux pas ennuyer les autres avec mes problèmes.

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Quand tout s'écroule ft @Alejandro L. De Luca

Je déteste être interrompu en plein dans une affaire mais j'appréciais encore moins que l'on m'annonce que mon compagnon avait été arrêter par mes collègues. Alejandro, aux stups ? Ça n'a aucun sens. Je l'ai trouvée attachée à une chaise alors je l'ai libérée avant de lui demander une explication. Lon regard n'étais pas forcément accusateur mais il avait affaire au flic pour le moment, c'était le lieutenant des stups qui lui demandait ce qu'il s'était passer. En général, les gens ne résistent pas longtemps à mes interrogatoires. Je prenais une grande inspiration, c'est mon compagnon en face pas un criminel alors je peux me détendre. Je n'aimais pas la direction que prenait ses explications, mon visage s' est froncé

- Tu plaisantes ? Tu te rends compte de la gravité de ce que tu as fait ? On ne plaisante pas avec la dépendance, Alejandro ! Tu aurais dû m'en parler bien avant

le collègue qui avait arrêté Alejandro était entré dans la pièce alors je me suis tue, notre conversation ne regarde personne. Mon compagnon venait de relever la tête vers moi, je remarquais sa blessure, l' attrapant au menton pour regarder de plus prêt

- C'est qui qui t' as fait ça ? Alejandro regarde moi ! C'est un des flics qui t' as fait ça ?

J'étais en colère mais pas contre mon compagnon, c'était un flic qui l'avait arrêté, même pas un brigadier des stups, encore un qui avait du vouloir montrer qu'il en avait une grosse. Quand ces abrutis comprendront que la violence ne sers à rien, j'appréciais encore moins l’acte en sachant qu'il s'agissait de mon compagnon. Je regardais sa blessure de prêt, l'enculer ne l'avais pas rater. J'espérais sincèrement que ce ne soit pas un de mes collègues qui avait fait ça parce que je n'allais pas laisser passer ça !

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Quand tout s’écroule - feat Gabriel

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J’avais conscience que la situation était grave, je ne suis même pas certain que Gabriel soit en capacité de me sortir de ce merdier ou si même il le voudra.. Je suis un idiot et je le sais très bien. Je ne me suis jamais senti aussi honteux qu’à l’instant ou il est rentré dans la pièce. Je n’osais même pas le regarder, j’avais tout foutu en l’air. Il a bien fallut que je lui donne des explications, évidemment je m’attendais à cette réaction, je la méritais. “Tu plaisantes ? Tu te rends compte de la gravité de ce que tu as fait ? On ne plaisante pas avec la dépendance, Alejandro ! Tu aurais dû m'en parler bien avant.” Je passais ma main tremblante sur ma nuque. “Je sais.. Je voulais pas baisser dans ton estime..” Ce qui était certainement trop tard à présent. J’étais encore sous le coup de la douleur de ma jambe en plus du coup que j’avais pris au visage. Un autre policier nous a rejoint, celui qui m’avait arrêté, je me suis d’ailleurs raidi. Je n’avais pas vraiment envie de parler devant lui déjà. “C'est qui qui t' as fait ça ? Alejandro regarde moi ! C'est un des flics qui t' as fait ça ?” J’ai ravalé ma salive préférant ne rien dire, mais mon regard s’est posé quelques secondes sur l’homme non loin de là. “Il ne s’est pas laissé faire pendant l’arrestation, j’ai du le calmer un peu.” Je ne suis pas certain qu’il ait encore fait le lien entre Gabriel et moi. Connaissant mon homme il ne laissera pas passer ça, j’ai doucement posé ma main sur le bras de Gabriel. “C’est rien.. C’est une égratignure.” J’essayais de minimiser la blessure, mais je ne sais pas pourquoi je savais dejà ce qui aller se passer. Il a bondi de sa chaise sautant violemment sur le flic qui m’avait arrêté. Je me suis levé rapidement, essayant de stopper Gabriel comme je le pouvais alors qu’un troisième flic essayait de tenir celui qui m’avait frappé. Les deux autres sont rapidement sortis, laissant Gabriel avec moi, j’étais encore dans son dos, une main à son flanc, l’autre sur son bras. J’ai posé quelques secondes mon front contre son épaule, j’appréciais qu’il me défende, mais il allait avoir encore plus d’ennuis a cause de moi.

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Timéo, Missy & Gabriel ♡ - La famille, c'est l'Amour. C'est tout ce qui compte. On mesure l'union d'une famille à sa capacité à traverser ensemble les étapes difficiles. Un être sans famille c'est comme un arbre sans branches. — (c) DARK ANGEL

Quand tout s'écroule ft @Alejandro L. De Luca

Je dois avouer que retrouver mon compagnon menotter a la brigade je n'appréciait pas vraiment. Déjà je ne comprends même pas qu'il ait été embarqué sans que je ne sois appeler. Je comptais bien me faire entendre auprès de certains. Je voulais son explication à lui et je dois avouer qu'elle ne m'avait pas plu, les cachets ne sont pas un jeu et je pensais qu'il le saurait en sortant avec un flic de la brigade des stups. Son excuse c'était la peur de baisser dans mon estime, sérieusement ?

- Parce que tu penses sincèrement que je t'aurais laissé tomber à la première difficulté ? T' as si peu foi en notre couple, en moi ?

J'étais en colère je dois l'avouer mais ce n'étais pas le lieu pour faire une scène, mon objectif était simplement de le sortir d'ici et de rentrer. On aura une grande discussion une fois à la maison. Je remarquais sa blessure à l'œil, attrapant son visage en lui demandant qui avait fait ça, je n'étais pas vraiment tendre, on pouvait bien voir la présence du flic en plein interrogatoire à ce moment. Il n'a rien dit mais j'ai rapidement compris au vu de son regard. D'autant plus que le fameux flic a eu l'audace de l'ouvrir. Je me place face à lui

- Parce que c'est comme ça que vous interpellez un suspect officier Gomez ? On ne vous apprend donc plus rien à l'école ?

Alejandro avait la main sur mon bras, il tentait sans doute de minimiser la blessure. J'étais à nouveau assis à ses côtés, tentant simplement de rester calme. L'officier aurait mieux fait de la fermer. Au lieu de cela il m' as simplement regarder droit dans les yeux en disant, je cite “Oui monsieur, c'est ainsi que l'on traite les raclures de drogués.” Mon sang n'a fait qu'un tour et mon poing est parti dans son visage.

- Premièrement on ne frappe jamais un suspect désarmés et non violent, deuxièmement ose encore lever la main sur mon compagnon et je t'assure qu'aucune brigade du pays ne voudra plus jamais de toi !

[i] J'étais à deux doigts de lui en coller un second mais Alejandro se tenait contre moi et l'un de mes collègues a sorti cet abruti de la pièce. Je sentais Alejandro dans mon dos, je supposais assez facilement qu'il essayait de me calmer. Mon cœur battait la chamade, la pression avait beaucoup de mal à redescendre, posant ma main contre la sienne. Je me retourne vers lui et observe sa blessure en silence. Je regarde aussi ses yeux, ses mains, cherchant le moindre signe de manque. Je ne savais pas quoi lui dire. Pour le moment je suis en colère et je ne veux rien risquer de dire que je pourrais regretter alors je devais d'abord me calmer.

AVENGEDINCHAINS

Quand tout s’écroule - feat Gabriel

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Je ne savais vraiment pas où me mettre, j’aurais aimé pouvoir disparaitre dans un trou de souris. Je suis vraiment un idiot.. Les explications que je donnais à Gabriel ne lui plaisait pas vraiment et je pouvais le comprendre, de toute manière ça ne servait à rien de mentir, j’assumais ma connerie. Oui j’avais eu peur que son regard sur moi change. “Parce que tu penses sincèrement que je t'aurais laissé tomber à la première difficulté ? T' as si peu foi en notre couple, en moi ?” Ce n’était vraiment pas la question. “Évidemment que j’ai foi en toi Gabriel, mais on parle pas d’une petite difficulté à surmonter. C’est pas comme ci j’avais fais rétrécir ton linge ou je sais pas, je suis dépendant aux antidouleurs et t’es un flic des stups. Des gars comme moi tu dois en arrêter tous les jours..” J’ai essayé de tenir, le plus longtemps possible, mais là je n’y arrive vraiment plus. Il ne peut pas imaginer à quel point je soufre physiquement actuellement. Un autre flic est rentré et je me suis senti encore plus mal, il allait avoir des ennuis à cause de moi, qu’est-ce qu’on allait dire ou penser de lui maintenant ? Gabriel essayait de savoir qui m’avait frappé, mais comme il était avec nous ce n’était peut-être pas le moment de lui dire. Il s’est levé une première fois, j’ai posé ma main sur son bras pour le calmer. “Oui monsieur, c'est ainsi que l'on traite les raclures de drogués.” Mon coeur s’est serré en l’entendant m’appeler comme ça. Je n’ai pas eu le temps de plus y réfléchir, Gabriel lui a mis une droite. Je me suis levé instinctivement pour l’attraper, me calant dans son dos. “Il n'en vaut pas la peine, Gabriel..” Mes mains a ses bras, j’essayais tant bien que mal à tenir sur mes jambes. Je n’ai jamais vu mon homme dans cet état. J’ai doucement glissé mes mains à ses bras, essayant de le calmer. Quand il s’est retourné je l’ai laissé regarder ma blessure en silence. Il était déjà en colère et je ne voulais rien rajouter à ça. J’ai repris ma place, passant ma main sur mon genou à plusieurs reprises. J’avais peur de ce qui allait se passer maintenant. “Est-ce que je vais allé en prison ?” J’avais besoin de savoir, histoire que je me prépare mentalement. Je ne suis pas sur de réussir à tenir dans un tel environnement, je suis pas quelqu’un de méchant. Avoir quitté la mafia pour faire quelque chose de bien de ma vie et finalement me retrouver en prison pour ça, ce serait le comble non ? Comme quoi le destin est parfois écrit à l’avance. Je n’ai pas envie d’aller en prison.. Je pose mes coudes sur la table, prenant ma tête entre mes mains. Les larmes se sont mises à couler en silence, mélange de peur, de fatigue et surtout de douleur. Je voulais simplement que tout ça se termine.

acidbrain

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