New life, they said - Carter Dawson

Sujet: New life, they said - Carter Dawson Mer 24 Jan 2024 - 15:33

Toujours une appréhension, bien présente malgré le fait de savoir qui je suis et où je vais. Une appréhension parce que je n'ai pas occupé mon poste pendant plus de 2 ans maintenant, et que quelque part, je pense avoir le syndrome de l'imposteur. Et puis l'intégration dans une nouvelle unité criminelle peut être déjà une épreuve.

Je sortis de la douche, enfilais un pantalon bleu marine, une tunique bleue marine en satin, et une paire d'escarpins hauts beiges. J'ai hésité beaucoup avant de choisir cette tenue, mais qui dit nouvelle vie, dit aurevoir les baskets non ?

- Breathe Cam, everything's gonna be okay, you know who you're... let's catch bad people. Me dis-je à moi même face au miroir.

Une touche de maquillage légère, un coup de brosse dans mes cheveux, et je sortis de la chambre du motel, pour rejoindre ma voiture. Une vieille américaine achetée quand je suis arrivée ici. Un pick up GMC Sierra C15, le genre bien américain et surtout robuste. Je ne me serais pas vu conduire une ford mustang avec des talons hauts.

Pas longtemps à conduire et puis les bâtiments de la police, du SWAT et autres trônaient devant mon regard. Mon sac à main en bandoulière, une main sur la anse, j'entrais dans les lieux pour me présenter à l'accueil. C'est le divisionnaire qui me reçu de primes abords, pour me faire visiter les locaux, et faire en sorte que je me perde pas dans le futur dans le dédale des bâtiments. Il me parle chiffre, il me parle affaires résolues, pourcentage de crime, domaine etc... Je l'écoute, et le suis partout, jusqu'à ce qu'on entre dans une salle assez grande, 5 bureaux en open space, et quelques agents me saluent.

- Le bureau que vous allez partager avec votre futur alter égo est plus loin.

Le divisionnaire m'indique qu'il s'appelle Carter, mais je ne relève pas le prénom... non, j'avise de la plaque sur la porte et fronce les sourcils une fraction de seconde.

- Carter Dawson je vous présente Camelya MacLeod, votre future coéquipière. Je vous invite à lui faire bon accueil et à lui montrer la salle de café, ce genre de choses.

Le divisionnaire ne le voit sans doute pas, mais je suis pétrifiée, je crois à une mauvaise blague. Il pose une main sur mon épaule et me laisse seule avec ni plus ni moins, le connard de touriste... of course... Respire Cam.

- Carter Dawson, nice to meet you. Again. Dis-je non sans me retenir de me jeter par terre pour hurler.

(tenue de cam : https://image.slidesharecdn.com/9d5a4b57-d0a7-46c6-8bc6-7ed18d163c11-160118190259/75/alona-talregard-magazine-2-2048.jpg?cb=1669269422)

@Carter A. Dawson

Sujet: Re: New life, they said - Carter Dawson Jeu 25 Jan 2024 - 0:14

Je m’étais levé tôt afin de faire mon footing matinal avant d’aller travailler. Mon patron m’avait dit que j’aurais un nouveau collègue de travail, mais je me demandais où était passé mon ancien collègue. Je n’avais pas eu la chance de demander à mon patron, mais j’avoue que cela ne me regardait pas. Une fois mon footing terminée je retournais à la maison en filant sous la douche rapidement afin de ne pas arriver en retard au boulot.

Une fois prête je verrouillais derrière moi et j’embarquais dans ma voiture. Avant d’aller au poste je décidais d’arrêter me chercher un beige et un café. Je n’aimais pas le café au boulot je remerciais la caissière et je retournais à ma voiture. Je roulais pendant un petit moment avant d’arriver au commissariat. Je garais ma voiture et je marchais en direction de l’entrée.

Je saluais la réception et on me demandait au bureau du patron. Je marchais en direction du bureau en frappant à la porte du patron. Mon patron me demandait de prendre place sur la chaise j’attendais l’arrivée du nouvel employé. Je reconnaissais cette odeur je l’avais déjà senti quelque part. Peu importe l’employé entrait je restais surpris en voyant la jeune femme entrée dans le bureau. La voix s’adressait à moi en disant qu’elle était ravie de me revoir. Je la regardais et je m’adressais à celle-ci à mon tour.

Content de te revoir aussi Camelya.

@Camelya B. MacLeod

Sujet: Re: New life, they said - Carter Dawson Jeu 25 Jan 2024 - 18:44

Il a l'air neutre. Je comprends pas, enfin si... enfin non. Pourquoi être si neutre, il ne me reconnait pas ? Et puis si, il parle d'être content de me revoir, je fais un demi sourire-grimace, parce que je la trouve pas très affutée sa répartie.

Le divisionnaire part, et je referme le bureau qui semble être le sien, et bientôt le mien aussi bien... je réalise qu'il n'y a que 10m2 tout au plus... c'est petit, trop petit. Je me canalise, à l'intérieur de moi, je hurle, je casse tout, à l'extérieur je suis stoïque, ou comme dirait Lady Gaga : Poker Face.

- Donc tu es criminologue, et tu vis à LA. J'hochais la tête en processant tout ça. Et bien, soit.

J'indiquais le bureau du fond, qui semblait être vide.

- Je présume que c'est le mien ? Question purement rhétorique, j'allais y poser mon sac à mains. Le divisionnaire parlait de café... je peux trouver ça où ?

J'avais besoin d'un café serré, et noir sans soja pour l'heure, c'était pas bien grave, et s'il y avait de l'alcool fort planqué dans un coin, je pense que j'aurais eu la main leste. Mais non... pas d'alcool sur le lieu de travail, et je revins dans le bureau, allant m'asseoir en face de lui, sur ce qui sera donc mon bureau.

- Je t'écoute... quelle affaire en cours ?

@Carter A. Dawson

Qu’est ce qu’elle faisait ici celle-là. Je ne pensais jamais la revoir puisque notre relation ne s’était pas très bien terminer. Je ne pouvais pas travailler avec elle c’était trop difficile avec ce que je lui avais fait. Camelya s’adressait à moi en me disant que j’étais criminologue et que je vivais à LA. Je la regardais et je m’adressais à celle-ci un peu direct bien entendu.

Oui je vis à LA et je suis criminologue tu sembles surpris de ma profession

Le bureau était au fond il n’avait absolument rien excepter un téléphone et un ordinateur. Camelya reprit la parole en disant que ça devait être son bureau. Elle voulait savoir où on pouvait trouver du café il n’était pas top, mais c’était mieux que rien. Je la regardais et je m’adressais à elle

La machine à café se trouve au bout du couloir

Peu importe je devais lui expliquer le cas que nous avions les inspecteurs avaient fait des recherches. Peu importe Camelya reprit la parole en me disant qu’elle m’écoutait et de quel cas il s’agissait. Je la regardais à nouveau et je m’adressais à elle

Il s’agit d’un tueur en série on a trouvé des preuves, mais ça n’a rien donner, donc on doit tout recommencer depuis le début la galère quoi.

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Amour Perdu

Tu étais la raison de mon sourire. Tu es devenu la cause de mes larmes. Un cœur brisé est un cœur qui a senti l'amour. Il est difficile de dire à ton esprit d'arrêter d'aimer quelqu'un, quand ton cœur fait le contraire. Il y a des jours ou je me déteste de t'aimer autant. Bien que le temps peut sécher les larmes de mes yeux, le temps ne t'effacera pas de mon cœur. L'amour nait d'un regard, grandis dans un baiser et meurt dans une larme.

- quelque part oui je suis surprise, je t'aurais plus vu bûcheron, garagiste, garde forestier. Répondis-je. Mon radar aiguisé de criminologue n'était pas activé pendant ce... cette passade.

J'avais prononcé le mot passade avec une pointe de dédain. Plus fort que moi, une petite rancœur qui ne devait pas entrer en ligne de compte dans le travail. Donc rapidement, j'allais me chercher un café, posais mon sac et mon postérieur sur le bureau. Recentrer la conversation vers le travail, c'était le principal en réalité.

- Tueur en série, d'accord. Je me levais le postérieur du bureau, pour aller glisser ma main vers le dossier sur le sien, l'interrogeant du regard pour le lire.

J'ouvris le pavé, et sortis les photos des victimes tout en posant des questions à Carter.

- Combien de victimes en tout ?

Je remarquais qu'il y avant pour la très grande majorité des femmes, et que ce que je pris pour un homme était un sans doute juste un iel.

- Les preuves identiques retrouvées sur toutes les scènes de crimes sont ?

J'écoutais Carter, en marchant dans le bureau de long en large, m'imprégnant des photos, avant d'attraper un stylo marquer, et en commençant à dessiner un tableau. En haut des colonnes j'écrivis le prénom et nom des victimes, et en dessous âge et lieu/ville où elles avaient été trouvé.

- Qui a été interrogé autour de chaque victime ?

Debout devant le tableau, je regardais les noms, aimantais les photos en dessous des noms, et puis je regardais Carter, et j'essayais de ne pas faire interférer les images de sa bouche sur la mienne contre ce mur de chambre d'hôtel qui avait reçu notre moment de "passade". Et j'y arrivais plutôt pas mal, mais j'allais sentir son odeur à lui, à force d'être dans ce bureau avec lui, jour après jour.

- Donc on a un tueur en série, qui bâillonne ses victimes post mortem, les met en scène comme des poupées désarticulées avec des fils coupés... Une empreinte partielle non identifiable trouvé sur la scène de crime n°5.. c'est ça ?

@Carter A. Dawson

Camelya s’adressait à moi en disant qu’elle était surprise de voir que j’étais criminologue. Elle enchaînait en disant qu’elle me voyait plus bûcheron , garagiste ou même garde forestier. Que son radar de criminologue n’était pas activé durant cette passade. Je la regardais et je m’adressais à celle-ci en souriant

Moi je te voyais plus du genre avocate infirmière ou bien notaire

Je ne la voyais vraiment pas criminologue ce n’était pas son genre du tout. Elle reprit la parole en disant tueur en série et combien de victime il avait fait. Elle terminait par me dire les preuves identiques retrouvés sur toute les scènes de crime. Je la regardais et je m’adressais à celle-ci.

plusieurs victimes des femmes dans la vingtaine. Les preuves et les photos sont toutes là dans ce dossier.

Camelya reprit la parole en me demandant qui avait été interrogé autour des victimes il en avait plusieurs. Je retrouvais les dossiers des personnes entourant les victimes. Je la regardais à nouveau et je m’adressais à elle.

oui voici les dossiers de tous ceux qui ont été interrogés

Camelya venait de prendre le tout en essayant de refaire le tout pour y voir des choses plus claires. La jolie blonde reprit la parole en disant que nous avions un tueur en série qui faisait du maudit avec ces victimes. Elle terminait par me dire qu’on avait une emprunte partielle non identifiable sur la scène de crime numéro 5

oui c’est exact je n’ai pas réussi à trouver quoi ce soit on devrait y retourner j’ai peut-être manquer des choses.

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Amour Perdu

Tu étais la raison de mon sourire. Tu es devenu la cause de mes larmes. Un cœur brisé est un cœur qui a senti l'amour. Il est difficile de dire à ton esprit d'arrêter d'aimer quelqu'un, quand ton cœur fait le contraire. Il y a des jours ou je me déteste de t'aimer autant. Bien que le temps peut sécher les larmes de mes yeux, le temps ne t'effacera pas de mon cœur. L'amour nait d'un regard, grandis dans un baiser et meurt dans une larme.

- infirmière... mmh ça dénote d'un certain fantasme masculin. Bref. Je suis bien criminologue.

On était parti pour retracer le dossier de ce serial killer, et il répondait plus ou moins aux questions, avant de me proposer d'aller sur place.

- Bonne idée. Je prends mon sac.

J'attrapais mon sac besace que je passais par dessus mon épaule, et le suivais jusqu'à l'ascenseur avec les adresses des scènes de crime, et le dossier dans mon sac.

- Alors quoi de neuf depuis 2 ans ? Demandais-je pour bavarder dans l'ascenseur.

Adossée dans le fond, mes mains posées sur la rembarde de chaque côté de mon corps, en regardant droit devant, c'est à dire la porte. Une fois dehors, je sortis mes clés de voiture, persuadée que partir avec MA voiture, serait nettement mieux que de l'avoir qui me conduit.

@Carter A. Dawson[/quote]

Ce n’était pas du tout un fantasme je ne la voyais pas du tout criminologue elle était bien trop belle pour faire ce genre de métier. Camelya prit la parole en disant que ça dotait d’un certain fantasme masculin, mais non elle était belle et bien criminologue. Je la regardais et je m’adressais à elle en souriant malgré tout.

ça dépend pour qui, mais tu es trop craquante pour faire ce métier

Non je ne faisais pas de la discriminions parce qu’elle était criminologue les commentaires des hommes n’étaient pas toujours respectueux ce qui me mettait en colère. Elle reprit la parole en disant que c’était une bonne idée qu’elle prenait son sac. Quoi elle voulait prendre le volant, alors là il en n’était pas question pour être honnête. Je la regardais en riant et je m’adressais à elle

tu vas tout de même pas conduire malheureusement c’est moi qui conduit

On quittait le poste de police et on marchait en direction du stationnement. La jolie blonde reprit la parole en disant ce qu’il y avait de nouveau dans ma vie depuis 2 ans. Je la regardais à nouveau et je m’adressais à elle en souriant malgré tout.

il ne se passe pas grand chose depuis 2 ans c’est plutôt tranquille et j’essaye de reconnecter avec mon jumeau

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Amour Perdu

Tu étais la raison de mon sourire. Tu es devenu la cause de mes larmes. Un cœur brisé est un cœur qui a senti l'amour. Il est difficile de dire à ton esprit d'arrêter d'aimer quelqu'un, quand ton cœur fait le contraire. Il y a des jours ou je me déteste de t'aimer autant. Bien que le temps peut sécher les larmes de mes yeux, le temps ne t'effacera pas de mon cœur. L'amour nait d'un regard, grandis dans un baiser et meurt dans une larme.

- Craquante... répétais-je en secouant la tête.

Son sourire était sincère et trop attirant pour s'y attarder plus. Ne pas songer à notre étreinte, à ses bras autour de moi, à sa bouche contre la mienne, ne pas songer à cette passade, qui n'en avait pas été une pour moi. Voilà, il fallait que je me focalise sur l'issue tragique, j'avais eu le cœur brisé, complètement atomisé, et je n'avais pas envie de revivre ça.

Il se foutu de moi, quand j'avais dans l'intention de conduire.

- Ah oui c'est vrai que comme tu es l'homo sapiens de Neandertal, tu conduis, ça va avec la panoplie j'avais oublié. Dis-je avec acidité, rangeant mes clés dans mon sac.

Nous traversâmes la rue, pour rejoindre sa voiture sur le parking et je montais à côté de lui, mâchoires serrées, il me parla de reconnexion avec son jumeau. Putain... deux Carter, identiques alors... mon dieu, je n'osais imaginer la rencontre détonante du coup. Mais mon esprit, se laissa envahir, par un moment d'intimité fugace avec deux carter... Mauvaise idée. Chut esprit pervers.

- Bien. Dis-je simplement, en regardant la route. Il ne me posait pas de question, je n'allais pas lui servir ma vie sur un plateau non plus.

J'ouvris le dossier, pour continuer de le lire, passant ma main dans mes cheveux, mordillant ensuite le capuchon de mon stylo bic - Toc que j'avais toujours eu - Je notais la présence d'un genre de tatouage sur l'avant bras des victimes.

- C'est le même chez toutes les victimes ? Ou du moins... les trois dernières ? C'est quoi comme symbole ? Un triangle... peut être le tatouage d'une boite... ont ils creusé dans cette direction ?

Arrivés sur place et sans toucher rien autour, j'observais le lieu, tournant autour des démarcations de là, où le corps avait été retrouvé.

- Jeune femme d'une vingtaine d'années, s'amusant un samedi soir en boîte... rencontre le prédateur, se fie à lui vu qu'il n'y a pas de marque de lutte sur elle, ni sous ses ongles... meure rapidement, et se voit affublée d'une mise en scène digne d'un film d'épouvante.

Je pousse un soupir. Et lance google lens, effectivement le symbole est celui d'un bar de nuit, le genre où l'on danse.

- J'espère que tu sais danser, et que tu as autre chose à porter qu'une chemise de bucheron... ce soir on va en boîte. Allons appâter le chaland... Après tout, qui aurait pu penser, que j'ai vraiment 40 ans... Je lui décochais un sourire en coin.

@Carter A. Dawson

Oui elle était craquante ce n’était pas pour rien qu’on était sorti ensemble, mais ça n’avait pas fonctionner en fait ce n’était pas elle le problème, mais moi. Ma famille m’ont toujours dit que je ne serais pas capable d’être en relation stable avec une femme ce qui m’avait mis en colère. Camelya s’était adressé à moi en disant craquante je la regardais et je m’adressais à elle.

oui craquante

Je devais tout de même lui retourner la question si après notre rupture elle avait rencontré quelqu’un. Elle s’était adressée à moi en disant bien. Vraiment sérieux peu importe je m’adressais à celle-ci en la regardant dans les yeux comme je faisais lorsqu’on était ensemble.

sérieux bien…est le seule mot qui te vient en tête sinon de ton côté il s’est passé quoi

Bah quoi j’étais curieux moi aussi je voulais savoir ce qui se passait dans sa vie malgré le fait que je l’avais largué. La jolie blonde reprit la parole en disant que c’était le même du moins les trois dernières. Que c’était quoi comme symbole un genre de triangle peut être d’une boîte de nuit. Je dois avouer que ça ressemblait à une étampe, donc elle avait raison là-dessus je la regardais et je m’adressais à celle-ci

je suis tout à fait d’accord avec toi une étampe d’une boîte de nuit

Je n’aimais pas ça prendre part du côté de la jolie blonde, mais cette fois-ci je n’avais pas vraiment le choix. Camelya reprit la parole en disant jeune femme dans la vingtaine sortant en boîte avec des amies filles. Fait la rencontre d’un inconnu, mais pas trop inconnu puisqu’elle ne s’était même pas défendu lors de son attaque. Je regardais Camelya et je m’adressais à elle en réfléchissant comme du monde.

si elle n’a aucun signe de lutte et rien sous les ongles c’est que cette fille connaissait son agresseur

Je n’étais pas du genre à sortir, mais je devais tout de même y aller. Camelya s’adressait à moi en me demandant si je savais danser parce qu’on devait aller en boîte pour enquêter si jamais l’agresseur ferait d’autres victimes. Je la regardais et je m’adressais à elle en souriant

oui je sais danser ça ne se voit pas comme ça

Il était vexé pour le "bien". Ce n'était pourtant qu'un mot, rien de bien méchant. Je pinçais les lèvres, tournant le visage vers lui, pour le regarder.

- De mon côté j'ai voyagé. Dis-je simplement sans plus m'étendre sur la discussion.

Sur place, on avait déjà une piste, cette boîte, le RED Corner. Je lui demandais s'il savait danser et sa réponse me fit sourire.

- Parfait alors, en attendant tu peux nous emmener sur l'avant dernière scène de crime ?

On avait fait dans la journée, les scènes de crime à proximité, on avait mangé à un food truck en rentrant vers le poste de police.

- On se donne rendez vous directement là bas vers 22h ? Et puis faudrait qu'on ait des oreillettes, si on est collé et qu'il est dans les parages on arrivera à rien.

Carter avait parfaitement compris, que je me mettrais dans la peau possible d'une proie, pour tenter de le percer à jour. ça faisait aussi partie du jeu, et il faudrait garder la tête froide. Je ne voulais pas être une victime de plus, mais celle qui le débusquerait ça me tentait nettement plus. Je repartis vers chez moi, retirant mes talons pour enfiler des chaussons, et me mettre de la musique à fond, manger des nouilles chinoises réchauffées au micro onde, danser et chanter sur la dernière de Sam Smith... bref décompresser après cette première journée.

J'ouvris mon placard à la recherche d'une robe qui allait appâter le chaland, un truc qui fait jeune et fraiche et j'optais pour une robe à paillette bleue marine très moulante et courte, qui pouvait faire à la fois sage et incendiaire. Je me détachais les cheveux me maquillais, et glissais l'oreillette dans mon oreille droite, l'allumant. Je ne me rendis pas forcément compte qu'il pouvait être en train d'écouter de l'autre côté.

- I see red, red, oh red. A gun to your head, head, to your head, oh. Executioner style, and there won't be no trial. Me mis-je à chanter avec toute la foi possible.

Perchée sur mes talons, et portant à la main une pochette argentée, je partis en direction de la boîte en information Carter.

- En route. dis-je simplement.

Je rentrais dans la boite un sourire aux lèvres, observant autour de moi, payant le vestiaire pour ma pochette, avant de me rendre au bar pour commander un redbull. La musique était forte, les lumières stroboscopiques, ne m'empêchèrent pas de voir Carter entrer, et quelque chose se passa dans mon bas ventre, comme une crampe, mais sans être exactement ça. Il était canon.

- je vais danser. Soufflais-je à mon coéquipier.

Et sur un tube très kinky de Jvla (such a whore), j'allais me mêler aux autres, danser avec sensualité, ondulant mon corps me laissant posséder par la musique.

@Carter A. Dawson

Je ne faisais que la taquiner le mot bien ne me dérangeait pas du tout. Je ne pensais pas qu’elle l’aurait prit ainsi il faut tout de même faire attention à ce que je disais afin de ne pas vexer la belle Camelya. Elle s’adressait à moi en disant qu’elle avait voyagé je me doutais bien pourquoi, mais je préférais ne rien dire. Peu importe je la regardais et je m’adressais à celle-ci

D’accord en passant mon frère jumeau s'appelle Xander

Camelya reprit la parole en disant que si je voulais l’amener sur l’autre scène de crime. Je le fis de ce pas on trouverait peut-être autre chose afin de nous aider à arrêter ce suspect. Je regardais la jolie blonde et je m’adressais à celle-ci en souriant malgré tout

Oui bien sûr allons-y

Je ne savais vraiment pas danser je voulais paraître bien sûr la piste de danse afin de surprendre la jolie blonde qui allait m’accompagner pour la soirée. On quittait la dernière scène de crime et je roulais en direction du poste de police en compagnie de Camelya. Une fois arrivée elle s’adressait à moi en disant qu’on se donnait rendez-vous à 22:00 à cette boîte de nuit et qu’on devait avoir des oreillettes si on venait à surprendre notre suspect. J’en avais glissé un mot au patron et il avait dit qu’il n’y aurait pas de problème.

Je quittais à nouveau le poste de police et je roulais en direction de la maison. Je devais manger un morceau et prendre une bonne douche avant d’aller en boîte. J’avais commandé quelque chose pour apporter je n’avais pas vraiment le temps de cuisiner. Une fois finie je marchais en direction de la douche et j’y embarquais. Je devais trouver quelque chose de beau qui ne faisait pas trop bûcheron.

Mon frère Liam m’avait donné quelques vêtements parce que ça ne lui faisait plus vu sa grandeur il était un petit peu plus grand que moi. Je filais dans ma chambre afin d’enfiler mes vêtements je trouvais quelque chose qui pourrait faire l’affaire. Je me coiffais un peu quoi que je n’avais pas vraiment de cheveux je me regardais dans le miroir et je me trouvais dont beau. Je quittais la maison et je roulais en direction de la boîte de nuit je saluais les filles et je commandais une bière au barmaid. Camelya était magnifique ce soir et j’allais tout faire afin de ne pas la décevoir. La jolie blonde s’adressait à moi en disant qu’elle allait danser. Je ne pouvais pas m’empêcher de la regarder elle était magnifique et sa façon de se déhancher c’était carrément sexy pour être honnête.

@Camelya B. MacLeod

je captais à travers les faisceaux lumineux, son regard sur moi, et c'était sexy qu'il me regarde comme ça. Si on était pas en train de travailler, je serais aller l'embrasser fiévreusement je pense, mais à la place, je laissais un mec me coller au dos, pour accompagner ma danse lascive, et je me pris au jeu. Je devais donner l'impression d'être libre comme l'air, ouverte à toutes conquêtes. Je me retournais dos à Carter, pour regarder à qui j'avais à faire comme target, il était selon moi trop jeune pour avoir le délire poupée à fil. Un autre vint danser avec moi, plus âgé, mais vraiment je ne pense pas que le tueur en série, soit un grand danseur. Il avait choisi des jeunes femmes en talons hauts, sachant qu'elles ne tiendraient pas longtemps à danser en talons. Au bout de 3 chansons, je m'éclipsais de la piste de danse, pour rejoindre le bar, et à côté de Carter, je fis comme si je ne le connaissais pas vraiment.

- tu m'offres un verre ? Lui dis-je, glissant un regard de biche et un sourire en coin. Alors dis moi, ce que tu as repéré...

Je n'avais pas allumé les mecs sur la piste pour mon bien être personnel, mais pour appâter le prédateur et lui donner une occasion de me cueillir.

- Le grand à 10h, t'en penses quoi ? Dis-je sans trop regarder dans cette direction, portant le verre à mes lèvres.

Il commettait ses meurtres entre minuit et 1h du matin, ça voulait dire aussi rentrer en contact assez tôt avec les victimes pour qu'elles soient complètement rassurées de passer une partie de la soirée avec. Dans mes pensées, je ne m'attendis pas du tout, à sentir une main se plaquer sur mes fesses... Genre comme ça, sans préliminaires, sans m'offrir un verre, sans rien. Médusée, je me retournais vers le corps attaché encore à la main qui s'était posée sur mon postérieur.

- Et bien et bien... on se laisse aller à ce que je vois... Dis-je à l'homme, un espèce de gangsta qui fit claquer sa langue en me reluquant.

Une nana comme moi, lui aurait déjà fait une clé de bras pour lui faire bouffer le bar, mais j'étais en mission, et du coup, je lui balançais mon verre à la tête.

- C'est bon là... on est calmé ? Lui dis-je, avant de me coller instinctivement à Carter, pour qu'il joue les machos tiens...

C'est ce qu'aurait fait une faible femme of course. Et pas une femme qui le trouvait trop sexy pour être réel, qui était encore amoureuse de lui, et qui en profitait sous couverture... nooon.

@Carter A. Dawson

Je me sentais comme un adolescent qui allait à sa première soirée dansante. Je ne comprenais pas pourquoi pourtant ce n’était qu’une boîte de nuit, mais j’étais sous couverture avec mon ex et je ne pouvais pas m’empêcher de la regarder elle était vraiment magnifique et dire que je suis parti sans rien faire je me sentais vraiment con, mais à cette époque je n’étais pas prêt et encore moins aujourd’hui même si j’avais toujours des sentiment pour elle.

Camelya s’adressait à moi en me demandant si je lui offrais un verre je ne pouvais pas lui dire non. Je fis signe au barmaid de lui amener quelque chose à boire. La jolie blonde enchaînait en me demandant ce que j’avais repéré je la regardais en souriant et je m’adressais à elle.

et bien au fond là-bas j’ai repéré un homme d’une certaine âge entouré de monde il semble regarder les filles sur la piste de danse afin dans trouver une à son goût et toi de ton côté ?

Camelya reprit à nouveau la parole en me disant de regarder à 10h et ce que j’en pensais. Je dois avouer qu’il était louche, mais je devais essayer de me rapprocher plus de lui et faire connaissance et observer chaque fait et geste qu’il porterait à mon égard ou à l’égard de Camelya. Je regardais Camelya à nouveau et je m’adressais à elle en essayant de trouver une réponse intelligente afin de ne pas avoir l’air d’un con qui ne savait pas de quoi il parlait.

je le trouve assez louche, mais je dois tout de même essayer de me rapprocher de lui subtilement et commencer à discuter tout en observant ses faits et gestes a mon égard et à ton égard

Un homme venait de poser sa mains sur les fesses de Camelya ce qui me mit en colère comment osait il poser ses mains sur ses fesses. Je devais tout de même me calmer puisque j’étais sous couverture. Camelya s’adressait à lui en disant qu’il se laissait aller on dirait. Je n'ai pas eu le temps de dire quoi ce soit qu’elle lui lançait son verre en plein visage en lui disant s’il était calmer. Je remarquais son regard noir envers Camelya comme s’il voulait poser un geste violent envers elle. Je me poussais afin d’être devant lui en le regardant droit dans les yeux qui disait ne pose jamais un geste violent envers une femme je le regardais et je m’adressais à lui

hey buddy, garde tes mains baladeuses loins des fesses de ma copine

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Amour Perdu

Tu étais la raison de mon sourire. Tu es devenu la cause de mes larmes. Un cœur brisé est un cœur qui a senti l'amour. Il est difficile de dire à ton esprit d'arrêter d'aimer quelqu'un, quand ton cœur fait le contraire. Il y a des jours ou je me déteste de t'aimer autant. Bien que le temps peut sécher les larmes de mes yeux, le temps ne t'effacera pas de mon cœur. L'amour nait d'un regard, grandis dans un baiser et meurt dans une larme.

ça ne loupa pas, le tripoteur se tassa dans ses talons face à Carter, et se tira bien vite. J'attendis que Carter se retourne vers moi, pour afficher un large sourire amusé.

- Merci, rien ne vaut l'intervention machiste d'un homme pour la frêle jeune femme que je suis.

Je ris, en buvant mon verre, et me rapprochais de Carter.

- Bon je te laisse aller de ton côté, je vais fureter du mien, garde ton oreillette en place et on se fera un rapport. Dis-je en ayant l'air de flirter avec lui, touchant les boutons de sa chemise, tout en minaudant.

Je le laissais derrière, tout en retournant sur la piste de danse, pour jouer les Wouhou girl, comme une bonne vingtenaire, dialogue universel par excellence de la génération des 20 ans. Et d'ailleurs les bras en l'air en lançant le cri de ralliement, j'en eu une dizaine en retours... Ah la jeunesse.

Mais rien ne vint, on joua nos rôles respectifs, mais rien ne se passa de particulier. On avait tenté la piste de l'appât pour prendre un peu la température, mais il faudrait réitérer l'expérience, encore et encore, et le temps était compté quelque part.

J'envoyais un texto à Carter en arrivant chez moi. *bien rentrée. A demain le macho*

Je quittais mes chaussures, et ma robe, me démaquillait tranquillement... sans me rendre compte que j'étais observée de l'extérieur de la chambre du motel. Au milieu de la nuit, j'entendis un bruit étrange, quelqu'un essayait d'ouvrir la porte, et je me jetais sur mon arme. Manquant de tomber du lit, je rampais jusqu'à mon portable pour envoyer un message à Carter.

*quelqu'un essai de rentrer dans ma chambre, je suis au motel Roadstar*

La porte s'ouvrit doucement, sur les pieds d'un homme. Allongée au sol, l'arme en main, j'entendais sa respiration, et sortant de là, je me retrouvais face à face avec un homme cagoulé, dans sa main un tazer. Je le vis trop tard, et l'éclair électrique me frappa directement. La douleur horrible me paralysa en me faisant chuter au sol, le temps pour lui de se rapprocher pour me toucher et me parler.

- Jolie petite poupée armée... chut tout va bien se passer.

Après ça c'est le flou, j'avoue c'est le flou. Je me réveillais quelques heures plus tard, assise sur une chaise, en jogging et t-shirt, dans une pièce inconnue.

@Carter A. Dawson

La soirée s’était plutôt bien passée je n’avais rien vu d’anormal exceptée l’homme qui avait ses mains baladeuses ce qui ne m’avait pas vraiment plus. L’homme s’est enfui en courant en me voyant intervenir auprès de lui. Personne n’avait le droit de poser ses mains baladeuses sur le corps de la jeune femme je trouvais le tout irrespectueux. Je respectais les femmes plus que tout au monde les mecs qui ne les respectaient pas me mettait en colère ce qui s’était passé auprès de Camelya.

La jolie blonde s’était adressée à moi en disant qu’elle n’avait pas eu besoin de ma petite intervention auprès de cet homme. Je n’ai pas eu le temps que répondre qu’elle enchaînait en disant qu’elle me laisser gérer mon côté et de ne pas enlever mon oreillette si jamais il y avait quelque chose d’autre qui se pointait ici. Les heures passaient et Camelya venait de m’envoyer un message en disant qu’elle était bien rentré. Je ne pouvais pas m’empêcher de sourire avec ce qu’elle venait de me dire je fis de même à mon tour.

* parfait je vais pouvoir bien dormir en te sachant chez toi *

Malgré tout ça j’avais une mauvaise impression il allait se passer quelque chose parce que l’homme que j’avais fais fuir à la boîte allait faire quelque chose de grave ou je ne sais quoi. Même si Camelya m’avait dit qu’elle était bien rentré je devais aller vérifier tout de même. Je sortais du lit en enfilant des vêtements lorsque mon portable sonnait. Je venais de recevoir un message de Camelya qui disait que quelqu’un essayait de rentrer dans sa chambre d’hôtel elle me donnait le nom de l’hôtel.

Je courais en direction de ma voiture je demandais ma voiture avec difficulté, mais elle a fini par partir. Je roulais assez rapidement cela m’avait prit à peine 5 minutes que j’arrivais à l’hôtel. Je m’adressais à l’hôtesse en lui demandant le numéro de chambre de Camelya elle m’avait demandé qu’elle était mon lien avec elle je lui ai donc dit que j’étais son petit ami. Elle me donnait la clé de sa chambre je la remerciais en courant vers l’ascenseur je ne voulais ps attendre l’ascenseur arrivait je montais à l’étage et j’espérais que l’ascenseur ne s’arrête pas en plein milieu. Une fois à l’étage je courais dans le corridor en trouvant le numéro de porte. J’avais un fusil et je le sortais de mon jean en poussant la porte

Cam tu es la ?

Je n’avais aucune réponse et je bouillais de l’intérieur je devais vérifier chaque recoin de sa chambre afin de chercher des indices. Je trouvais quelques indices je devais demander de l’aide et passer au peigne fin la chambre au complet. Je ne pouvais pas faire le tour seul. J’avais mon portable et je demandais des backup pour inspecter la chambre de A à Z.

@Camelya B. MacLeod

C'est mon pire cauchemar, juste le pire que je puisse faire de toute ma vie. Celui de finir tuée par un tueur en série. Alors assise là sur ma chaise, je tente d'endiguer la panique qui pointe le bout de son nez en moi. J'enfonce les ongles de mes doigts dans les paumes de mes mains, pour me rappeler à la réalité... la réalité ? Je suis encore en vie, pas droguée, et je ne pense pas avoir été violé. J'éloigne le "pas encore' de l'histoire, ça n'apporterait que le mauvais œil au final. J'analyse alors la pièce, les fenêtres possibles, les sorties possibles, mais aussi les bruits autour... et dans mon analyse, j'entends alors une voix lointaine... La voix de Carter dans mon oreillette. Impossible. Je ne l'ai pas retiré, j'étais épuisée et j'avais le pressentiment que quelque chose allait se passer aussi. Du coup, je l'entends, mais n'était ce pas là un fantasme ? Une envie ? Un désir refoulé ?

- Il y a quelqu'un ? Dis-je alors à haute et intelligible voix.

Autant pour celui qui m'a enlevé que pour Carter, en priant aussi qu'il n'avait pas retiré son oreillette... qu'elle n'était pas dans la poche de son pantalon ou autre. Ma respiration est longue et lente, comme quand on est sous état d'hypnose, c'est une technique connue pour éviter les crises de panique, et les états de stress. Toujours respirer lentement, pour mieux appréhender les défis de la vie.

- J'aimerais vous parler... l'endroit est propice aux discussions non ?

Je baisse le regard pour voir qu'une bâche recouvre le sol sous ma chaise et mes pieds. Détail qui a son importance.

- Le dernier discours du condamné, vous me devez bien ça.

Et là, du bruit, des pas, et l'homme vint se poser en face de moi. J'ouvre de grands yeux.

- Vous ?
- Moi.
- Mais co.. comment c'est possible, vous êtes... le gérant du motel !
- Oui, et un passionné de poupées depuis mon plus jeune âge, je les aime brunes plutôt, mais on va vous teindre les cheveux, et comme ça, vous ressemblerez à toutes les autres. Mes œuvres.

Voilà, si Carter écoutait encore, il avait l'information manquante, celle qu'on cherchait depuis longtemps, et je priais tous les saints, qu'il avait l'information. Le tueur en série, me pompa l'oxygène de ses narrations, avant de m'indiquer, qu'il allait commencer mon soin capillaire.

- Si je crie que se passe t-il ?
- Personne ne connait l'existence de ce local.
- Je ne suis pas sûre, sinon pourquoi mettre une bâche sous vos victimes ? Je pense que vous louez l'endroit.
- Tout le monde n'aime pas nettoyer le sang.

J'essayais de dégager des informations, mais l'homme semblait plus prompt à me relooker avant la mort qu'autre chose.

@Carter A. Dawson

Sujet: Re: New life, they said - Carter Dawson Lun 4 Mar 2024 - 20:01

Je n’avais aucune réponse de Camelya ce n’était pas du tout bon signe je commençais à me faire du souci il s’était passé quelque chose et si jamais il lui arrivait quelque chose par ma faute je ne crois pas que j’arriverai à me pardonner. Je l’avais perdu 1x par ma faute et il n’était pas question de la perdre à nouveau. J’allais tout faire pour la trouver je ne pouvais pas rester à me tourner les pouces en ne faisant rien.

J’avais appelé mon équipe afin qu’ils m’aident à me donner un coups de main dans la chambre d’hôtel de Cam si jamais il avait des preuves que je ne pouvais pas voir. Cela leur avait prit un peu temps qu’ils arrivaient. Ils commencèrent à me poser des question sur ce qui venait de se passer.

La dernière fois que je l’avais vu tout allait très bien jusqu’à temps qu’elle m’appelle en panique. Je leur expliquais le tout on commençait à monter nos choses si je pouvais faire de sa chambre d’hôtel une planque ou en trouver une à côté de celle-ci. J’avoue que je ne pouvais pas rester ici il s’agissait d’une scène d’enlèvement ou je ne sais quoi. Je commençais à chercher des preuves tout en demandant de l’aide à mes collègues de travail. Je ne devais pas perdre de temps je ne savais pas comment il lui restait du temps. J’appelais à la réception en leur demandant s’il avait une chambre de disponible.

Si c’était le cas je pouvais tout installer dans cette chambre et la louer le temps de retrouver Camelya. On récoltait le plus de preuves possibles enfin sans faire un montage ou un casse tête. La réception m’avait dit que oui il avait une chambre de disponible je leur ai dis que j’allais la prendre. J’emballais nos choses en allant à la chambre voisine afin de m’installer confortablement en commençant à remonter la soirée où nous sommes sorti à la boîte.

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Amour Perdu

Tu étais la raison de mon sourire. Tu es devenu la cause de mes larmes. Un cœur brisé est un cœur qui a senti l'amour. Il est difficile de dire à ton esprit d'arrêter d'aimer quelqu'un, quand ton cœur fait le contraire. Il y a des jours ou je me déteste de t'aimer autant. Bien que le temps peut sécher les larmes de mes yeux, le temps ne t'effacera pas de mon cœur. L'amour nait d'un regard, grandis dans un baiser et meurt dans une larme.

Sujet: Re: New life, they said - Carter Dawson Ven 15 Mar 2024 - 23:06

A force de prier d'un moment seule, il arriva. Le gérant appelé par quelqu'un, finit par me laisser seule... écoutant les bruits, les sons et autres, je finis par me débattre pour me détacher. La pièce n'avait pas de fenêtre, et je cherchais l'issu pour sortir de là... contre toutes attentes, je finis par trouver un conduit d'aération où me glisser, et je sortis dans un marécage puant ! Je devais ressembler à une poupée trop maquillée en pyjama... une folle.

Je passais une main dans mes cheveux, et avançais direction une nationale, où un camion accepta de s'arrêter pour me prendre en stop.

- Et ben... soirée mouvementée ? Me dit la femme au volant.
- Oui... on peut dire ça. Vous avez un portable ? On est où là ?

J'appelais le central, pour leur donner la direction et l'identité du tueur en série, et la chauffeuse me déposa au motel.

Epuisée, cradingue, sans mon pass, j'arrivais à l'accueil et la fille du fameux gérant me fit une remarque étrange.

- Votre ami est là...

Je me retournais pour voir au bout du couloir Carter, et j'allais le rejoindre, en claudiquant, mes pieds nus crades et blessés me donnant une démarche étrange.

- C'était le gérant de mon... de ce motel...

J'étais crade à plus d'un titre, et blessée aux bras, aux mains et aux pieds, et probablement un peu sous le choc.

- Ils l'ont trouvé ?

@Carter A. Dawson

Sujet: Re: New life, they said - Carter Dawson Sam 23 Mar 2024 - 1:21

J’espérais bien retrouver la personne qui avait enlevé Cam. J’étais tellement en colère j’avais envie de tout briser et tuer tout ce qui se retrouverait sur mon chemin. Personne avait le droit de toucher à Cam ou même de s’en prendre à elle. Je la défendais comme si elle était ma femme quand ce n’était pas le cas du tout.

J’avais demandé à tout ceux qui avait des renseignements de me les donner. Je devais enquêter le plus rapidement possible afin de mettre ce connard entre les barreaux même si ce n’était pas mon boulot. Je venais de finir de prendre des notes je remerciais ma source. J’espérais vraiment que Cam ne soit pas blessée ou même morte.

J’étais concentré dans mon boulot qu’une voix familière se fit entendre. Cette voix venait de me dire qu’il s’agissait du gérant de l’hôtel où elle vivait. Je levais les yeux et Cam était là devant moi à moitié morte blessée. Je déposais mes choses et ce fut plus fort que moi que je la serrais dans mes bras, mais pas trop fort et je m’adressais à celle-ci.

Oh my god Cam…. Quoi c’est sure que c’est une blague pourquoi ce connard à fait ça ?

Je reprenais mon souffle j’ai vraiment eu peur de la perdre quand je venais tout juste de la retrouver. Elle était effrayée et je pouvais comprendre je trouvais une couverture que je déposais sur ses épaules. Elle s’était adressée à moi en disant si les policiers l’avaient retrouvé je la regardais et je m’adressais à celle-ci.

Oui je viens de recevoir un texto c’est fini

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Amour Perdu

Tu étais la raison de mon sourire. Tu es devenu la cause de mes larmes. Un cœur brisé est un cœur qui a senti l'amour. Il est difficile de dire à ton esprit d'arrêter d'aimer quelqu'un, quand ton cœur fait le contraire. Il y a des jours ou je me déteste de t'aimer autant. Bien que le temps peut sécher les larmes de mes yeux, le temps ne t'effacera pas de mon cœur. L'amour nait d'un regard, grandis dans un baiser et meurt dans une larme.

Sujet: Re: New life, they said - Carter Dawson Sam 23 Mar 2024 - 17:14

Je suis épuisée, j'ai mal de partout, je pus à des kilomètres, je dois avoir une tête de folle avec le maquillage outrancier que ce fils de pute avait mis sur moi. J'ai besoin de toucher Carter, pour me saisir de la réalité, non je ne suis pas morte... oui je suis bien là. Je ne quitte pas sa main, ou son bras suivant, je suis pourtant dans un état second.

- Bien... bien... C'est bien. Dis-je pour toutes réponses. Je me suis échappée de là par un conduit d'égoût... j'ai fait du stop et une camionneuse m'a ramassé sur la route. Je crois que j'ai des contusions sous la plante des pieds ça pique. Et j'ai soif, faim... mais surtout... surtout... Carter si tu avais gardé ton oreillette on aurait pu se parler, j'avais espoir que tu l'avais gardé mais je me parlais à moi toute seule...

Ce n'était pas vraiment un reproche, c'était un constat. Ma tête reposa sur son épaule, épuisée de cette nuit et demi journée houleuse.

- C'était mon pire cauchemar, me faire avoir par un tueur en série... je viens de vivre mon pire cauchemar. Continuais-je pour évacuer tout ce que j'avais sur le coeur. J'ai besoin d'un bain je sais...

Je souris à demi, attrapant sa main de la mienne, regardant nos mains mêlées l'une à l'autre.

- Mais surtout, surtout... il faut que je trouve un appartement.

Je me doutais bien qu’elle m’en voulait, mais je l’ai enlevé parce que l’on entrait à la maison. Je n’aurais jamais penser que Cam serait fait enlevé par un malade mental. Je me sentais assez coupable comme ça, mais dans ma tête j’aurais dû la ramener.

Cam s’était adressée à moi en disant que c’était bien et qu’elle s’était enfui par un conduit d’égout et qu’elle avait fait du pouce et une camionneuse l’avait ramassé. Elle aurait pu se faire tuer ou je ne sais quoi on ne sait pas dans quel monde ont vit.

Elle enchaînait en disant qu’elle avait des contusions sous les pieds. Qu’elle avait soif et faim que si j’avais gardé mon oreillette qu’on n’aurait pu se parler et qu’elle avait eu espoir que je la garde, mais qu’elle se parlait toute seule. Je regardais Cam et je m’adressais à elle

Je suis désolé si je l’ai enlevé dans ma tête on rentrait chacun à la maison et je me sens déjà mal pour ce qui s’est passé j’aurais dû te raccompagner, mais je me suis dit que tout était correct

Je culpabilisais déjà sur le fait que je n’avais pas été là pour elle. Cam reprit la parole en disant que c’était son pire cauchemar surtout se faire avoir par un tueur en série et qu’elle avait besoin d’un bain. Nos mains s’enlaçaient et Cam s’adressait à moi en disant qu’elle avait besoin de se trouver un appartement. Je la regardais et je m’adressais à elle

Oui bien sûr, mais pour ce soir je t’invite à la maison tu prendras ma chambre et moi le canapé il n’est pas question que tu reste seule à nouveau et demain on regardera les petites annonces pour un appartement

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Amour Perdu

Tu étais la raison de mon sourire. Tu es devenu la cause de mes larmes. Un cœur brisé est un cœur qui a senti l'amour. Il est difficile de dire à ton esprit d'arrêter d'aimer quelqu'un, quand ton cœur fait le contraire. Il y a des jours ou je me déteste de t'aimer autant. Bien que le temps peut sécher les larmes de mes yeux, le temps ne t'effacera pas de mon cœur. L'amour nait d'un regard, grandis dans un baiser et meurt dans une larme.

- Deal. Lui dis-je, trop crevée pour argumenter.

On se relevait tous les deux, ma main resta dans la sienne, jusqu'à ce qu'on monte en voiture. Il aurait bien quelques fringues à me prêter chez lui, pour passer la nuit. Je m'endormis contre la portière de sa voiture, me réveillant quand elle s'ouvrit pour que je descende. M'appuyant sur lui, je grinçais des dents, tellement mes pieds me faisaient mal.

Je ne me fis pas prier pour filer sous la douche, dans le miroir, je regardais mes bleus et marques, reflétant le moment où tout avait basculé, jusqu'à ce que je me retrouve en sécurité avec lui. Je me lavais sur la pointe des pieds, le sangs et la crasse glissant sur ma peau direction le syphon. Une fois propre, je m'enroulais dans une serviette, avant de l'appeler, ouvrant la porte;

- Est ce que je peux te demander de m'aider pour mes dessous de pieds ? Pour mettre du désinfectant, des pansements ?

Je reculais pour le laisser passer, attrapant d'une main, ma crinière blonde trempée, que je pressais d'un côté. Il était beau, il l'avait toujours été et le temps n'avait pas changé ça en lui. Mais plus encore, ses mains sur moi était un réel réconfort. M'asseyant sur les toilettes fermés, je le regardais faire, tout en mordillant ma lèvre.

Profitant d'un mouvement de sa part, je posais mes mains sur sa chemise et l'attirait à moi.

- Ne dis rien... j'ai besoin... de... toi...

Je posais ma bouche sur la sienne, espérant qu'il répondrait.

Je ne pouvais pas laisser Cam dormir à l’extérieur et encore moins dans un hôtel avec ce qui lui est arrivé. J’avais proposé à la jolie blonde qu’elle pouvait prendre mon lit et moi le canapé. Elle s’était adressée à moi en disant que c’était un deal je ne pouvais pas m’empêcher de sourire j’allais pouvoir dormir la tête tranquille puisqu’elle était dans mon appartement.

Sa main dans la mienne je me sentais tellement bien pour être honnête. J’allais tout faire pour être auprès d’elle puisque ça n’avait pas été facile et je m’en voulais toujours autant de ne pas avoir été là pour elle, alors qu’elle avait le plus besoin de moi.

Camelya s’adressait à moi à nouveau en me demandant si je pouvais l’aider pour ses dessous de pieds afin d’y mettre le désinfectant et des pansements. Je ne pouvais pas lui dire non je la regardais et je m'adressais à celle-ci.

Oui bien sûr avec plaisir

Je passais près d’elle en allant chercher ce qu’il fallait pour désinfecter le tout et lui mettre de nouveaux pansements. Camelya était installée sur la toilette fermée et je commençais à faire ce qu’il fallait pour guérir le tout. Une fois terminée elle m’attirait vers elle en disant de ne rien dire et qu’elle avait besoin de moi.

J’avais aussi besoin d’elle et je pense qu’elle le savait bien, mais elle ne préférait peut-être pas le montrer. Camelya posait ses lèvres contre les mienne je ne pouvais pas repousser ses lèvres et je continuais le baiser qu’elle me donnait. Je la prenais dans mes bras et je marchais en direction de ma chambre en la déposant sur le lit tout en me retrouvant au-dessus d’elle mes lèvres contre les siennes. Je dois avouer que ses lèvres m’avaient terriblement manquer.

Avec soulagement, il y répondit favorablement, me soulevant de terre comme si je ne pesais rien, jusqu'à m'emmener vers la chambre. Mes blessures me faisaient nettement moins mal en cet instant précis, je passais mes mains sur son visage, dans ses cheveux, sur sa nuque, accentuant notre baiser. Lorsqu'il m'allongea sur le lit sous lui, la serviette s'ouvrit sur mon corps nu, que je pressais contre le sien. J'avais terriblement besoin de la chaleur de sa peau, pour me rassurer, pour gommer les dernières heures de calvaire que j'avais vécu. L'arrêtant un tout petit peu, nous coupant dans notre élan salvateur, je plongeais mon regard dans le sien.

- C'est de ma faute, j'ai voulu jouer avec cette affaire, prouver un truc... et je me suis brûlée les ailes toute seule. Je veux pas... que tu t'en veuilles, je suis consciente que j'ai merdé.

Mes mains glissèrent sur son torse, cherchant le chemin pour lui retirer sa chemise et tout le reste... finalement je tirais sur le tissu pour le retirer de la ceinture de son pantalon. Mes jambes s'enroulèrent aux siennes, cherchant sa proximité de nouveau, ma bouche se colla sur la sienne, ma langue se frayant un chemin vers sa langue à lui. Je poussais un léger gémissement de plaisir..