De l'air frais - Roman

Evalye était une jeune fille qui avait largement vécu trop de chose pour quelqu’un de son âge, cependant, les années ou elle aurait du, dans une vie normale, vivre une adolescence à se rebeller, gueuler après ses parents, se pogner, faire le mur, elle les avait passer à être avec des policiers, des gardes du corps pour lui protéger la vie.

Evalye avait vu le meurtrier de ses parents et donc cela faisait en sorte qu’elle avait passer d’une petite vie ou rien ne l’a dérangeait trop, enfin ou elle ne se souciait pas de grand-chose, à orpheline, sans parents, sans proche et surtout avec des cauchemars et des crises de paniques qui ont fait leurs apparitions.

Alors qu’elle se croyait en sécurité, il y a quelques temps, les deux policiers de qui elle était très proche, parce que c’était ceux qui était le plus souvent là, ont été tués en la sauvant. Elle s’est promis de ne plus avoir de relation proche, enfin sans son ami avec qui elle correspond et qui a refusé sa demande de ne plus se tenir ensemble. Evalye en avait marre des fois, marre de toute cette histoire, mais oui ça lui avait foutu la peur de sa vie.

Elle avait de la difficulté à être à l’heure à l’école, à y être point, elle n’était pas du tout motiver et donc oui elle refusait souvent d’y aller et ce matin c’était ça aussi, elle avait décider que l’école c’était surfait. Alors elle avait dit à Roman, son nouveau garde du corps qu’elle partait à la plage, enfin sur le boardwalk.

« Si tu veux je te paie un café pendant que je m’éclipse magasiner, je ne dirai pas que tu m’as laisser tranquille » Dit-elle en le regardant, pourtant elle savait que Roman était dur à semer, elle avait déjà fait l’expérience ! En même temps, elle ne connaissait rien de lui, elle ne savait pas du tout comment continuer à garder son lien sans trop s'attacher, surtout que par sa nature, Roman était un homme rassurant, qui l ui faisait penser à son père !

Evalye avait vu sa vie complètement chamboulée, alors qu’elle se devait d’être tout simplement d’être une adolescente, elle ne pouvait pas, elle avait perdu ses proches, ils étaient mort, elle se devait de changer de ville, elle se devait d’être une personne qu’on protège. Donc si adolescente tout ce qu’on veut à un moment c’est la paix, être tranquille, dans son cas c’était pire qu’un enfant, elle avait toujours quelqu’un qui veillait à sa sécurité. Bon heureusement l’appartement ou elle vivait c’était sécuritaire, mais bon elle avait de rare moment tranquille.

Elle avait vécu un autre traumatisme quand les criminels l’avaient retrouvé et donc avait tuer deux de ses gardes du corps, deux hommes pour qui elle avait beaucoup d’affection et qu’elle avait vu mort, non ce n’était pas facile. Elle venait d’être changer de ville et maintenant elle vivait à Los Angeles. Cependant, Evalye commençait de plus en plus à croire que non elle n’aurait jamais une vie normale, alors à quoi bon se faire chier à l’école, elle voulait plus profiter de la vie ! Même si Eva refusait de s’attacher à sa nouvelles équipes de protection, il fallait bien dire qu’elle voyait un peu son père dans le caractère protecteur de Roman.

Evalye avait tendance à vouloir fuir les gardes, et pourtant, il y en avait des plus doués que d’autres, Roman n’était pas facile à convaincre, semer encore moins et souvent le plus dure. Voilà qu’elle s’était préparée, mais elle comptait bien manquer les cours encore une fois et plutôt se diriger vers le boardwalk. Elle offrit même à Roman de lui payer un café…enfin un deuxième pour le coup…! « Ouais je vois que tu le bois déjà…un petit déjeuner alors ? » Bon c’était une petite négociation perdue à l’avance, elle le voyait bien sûr !

Evalye prit place à la table, avec un lait au chocolat et le regarda ! « Tu sais quoi Roman ? J’aurais probablement jamais une vie normale, je sais même pas si je vais souffler mes 30 bougies, alors je suis plutôt d’avis que je devrais profiter de ce qu’il me reste de vie, et ne pas me faire chier, alors que surement je devrai me cacher toujours ! » Evalye n’arrivait plus à dormir paisiblement, souvent sur le qui vive, lumière ouverte, rien de facile, rien de simple et ce même s’il y a toujours quelqu’un qui veille sur elle. Assurément qu’elle devrait le dire, mais elle ne voulait pas qu’ils s’inquiètent trop non plus !