Kaleb A. Samuels - Fiche de liens

14 février 1987, je viens de venir montrer le bout de mon nez dans la ville de Mexico.  À cette époque, mes parents formaient un couple depuis quelques temps déjà et ils s’aimaient.  Environ quatre ans plus tard, Emily, ma petite sœur et aussi prunelle de mes yeux viendra sceller notre petite famille.  Nous aurions pu former une belle petite famille heureuse, si mon père n’avait pas trempé dans des affaires totalement louches.  Mon père était ce que l’on appel un criminel de père en fils, il avait hérité de son rang dans le gang de son père.  Des années plus tard, alors que les affaires du paternelles semblaient florissantes, ils ont reçu des menaces à l’égard de sa famille.  Mes parents ont paniqué et à l’aide de contacts aux États-Unis, ma mère, ma sœur et moi avons immigré et changer d’identité.  Ce jour-là, c’est la dernière fois que j’ai vu mon père. Selon les rumeurs, il est mort quelques-années après notre départ. Nous avons pris le nom de Samuels et surtout à notre arrivé, j’ai fait la connaissance de celle que j’appelle tatie aujourd’hui.  Elle reste une personne très importante pour moi et régulièrement je prends de ses nouvelles. Ma nouvelle vie n’était pas facile, nous avions quand même des ressources envoyer par notre père, mais nous étions des illégaux et n’avions pas beaucoup de chance dans la vie.  Il aura fallu une multitude de délai et de démarches administratives afin d’obtenir notre citoyenneté américaine et déjà la vie était beaucoup plus simple.

À l’adolescence, j’ai commencé à ressentir des choses pour les hommes. Encore aujourd’hui, je me rappelle ma panique lorsque j’ai eu mon premier baiser.  Venant d’un monde assez « macho » il était hors de question que je ne sois pas un hétéro!  Encore à ce jour, je panique à l’idée même que l’on comprenne mon secret.  La seule qui le sait c’est ma sœur qui garde le secret et les quelques amants que je me fais de temps à autres, mais eux ils savent qu’ils ont bien intérêt à tenir leurs langues.  Il ne me reste plus grand-chose de ma vie à Mexico, toutefois en effectuant des recherches j’ai pu obtenir notre véritable identité.  Beaucoup de choses se sont éclaircies dans ma tête et je me suis fait une promesse, c’est-à-dire de contrecarré les plans de pourritures comme mon paternelle.  Après tout, il a fait de notre vie un enfer en devant nous envoyer aux états.

Un diplôme en poche, je suis devenu policier et je me plaisais bien.  À croire que je me sentais invincible avec ma plaque et mon arme, mais surtout pour moi c’était satisfaisait d’envoyer des criminels en prison.  Dès que j’ai eu l’âge, je suis allé faire ma formation à Quantico, laissant ma famille derrière moi.  J’ai dû apprendre à canaliser un peu mon mauvais caractère, mais hormis quelques accros, je suis devenu un agent du FBI respecté.  On m’a envoyé à Los Angeles où je suis affecté à ce bureau depuis ma graduation.  J’y suis bien et je me suis fait une vie.  Afin de garder les apparences, je me suis fait une copine que je n’aime pas particulièrement.  Je n’aime pas me jouer d’elle, mais je ne veux pas que mon secret soit dévoilé.  Je fuis les relations sexuelles, comme la peste prétextant mille raisons, puis lorsque la pression se fait sentir, j’ai toujours du viagra où je lui fais plaisir et on passe à autre.   Pour éprouver du plaisir, j’ai des aventures avec des hommes ce qu’elle ignore.  

Au FBI, ce sont de plus gros poisson que j’attrape et mon boulot est encore plus satisfaisait.  Je resterai toujours loyal à mon boulot et à mon serment.  Justement, je suis sur un dossier super intéressant pour le moment, une histoire de pari illégaux.  Je commence à me rapprocher de ma cible, mais comme un emmerdeur qu’il est, il me glisse toujours entre les doigts.  Je ne vous dis pas à quel point c’est entrain de me rendre fou.  J’ai l’impression que je suis un jeu pour lui… Mes patrons commencent à me demander des comptes, mais il reste la cible la plus difficile de ma carrière.  Je pense que je craque pour lui, mais je n’y comprends rien, il reste une énigme!  Qu’il n’espère pas trop, je n’ai pas l’intention de virer ma chemise de côté.