Rosalie était dans deux travails à la fois, elle avait vécu une drôle de vie, enfin depuis que sa mère était morte, sa vie était passé de petite vie heureuse et tranquille avec sa mère à une vie grise, noire remplit d’orage et de tourments. Son histoire avait fait la une, elle avait mit le feu à la maison de ses voisins, ce que personne ne savait c’était la raison, soit le fait que son voisin, le père de son meilleur ami d’enfance, ait abuser d’elle à plusieurs reprises. Elle avait eu marre de tout ça et avait essayer de le tuer, mais il avait survécu et elle avait été arrêté, placer en centre pour se rétablir et cela durant de nombreuses années.

Il fallait dire que ses tantes et oncles, la famille de sa mère était venu la voir dans ce centre, mais encore à ce jour le nom de son violeur était secret, cependant, il y avait l’information comme quoi elle avait été abusé qui avait été confirmer et c’était ça que sa famille savait. Quand elle fût sortie du centre, elle retourna vivre dans la maison de sa mère pour apprendre un peu plus tard que son beau-père essayait de la fourrer en lui vidant son argent, ses avoir. Quand Rosalie l’apprit elle le mit à la porte, parce que de toute façon les deux ne s’étaient jamais vraiment entendu.

Puis elle avait finit par devenir illustratrice pour livres jeunesses, mais surtout, elle avait mit son nom avec ça. Elle adorait le contact avec les enfants, ça ne l’a bloquait nullement. Cependant, pour ce qui était de ses romans pour adultes, ça elle mettait un pseudonyme et elle avait demandé l’anonymat, elle avait accepter que son éditrice dise que l’auteure voulait rester anonyme.

C’est ainsi qu’elle avait un autre livre qui patientait et attendait le retour, elle avait tout amener en souriant, elle avait bien sûr demander Madame MacMillan et ensuite avait été reconduit à son petit salon privé. Une fois arrivé, elle lui souria un peu ! « Bonjour, ça va bien ? » Rosalie était jeune, mais les situations de sa vie l'avait forcé à vieillir trop vite et puis elle avait apprise à se débrouiller seule, mais rien n'était trop trop régler dans sa tête encore à ce jour !

Rosalie avait vécu un début de vie totalement parfait, une mère qui l’aimait passionnément, comme toute mère devrait aimer son enfant. Cependant, oui elle aurait aimé que sa mère lui parle de son père bien avant tout ça, mais bon elle avait surement ses raisons d’avoir garder le secret et elle l’avait emporté dans la tombe avec elle. Cependant, Rosalie ne parlait jamais de ses drames, personnes ne savait ce qu’elle avait vécu, enfin sauf ses proches, et personne ne savait la personne qui lui avait fait ça, alors oui ça devenait un peu plus complexe pour elle de vivre avec ses secrets là, mais c,était une façon de ne pas leur accorder d’importance.

Rosalie était jeune, mais elle avait une très belle carrière fleurissante et si elle tenait à cet anonymat, c’est qu’elle n’avait pas trop confiance en elle. Tandis que là sous un pseudonyme, ça protégeait son identité et donc comme ça bonne ou mauvaise critique personne qui l’écrivait vraiment. Elle prit place doucement dans la chaise devant elle « Oui un thé s’il te plait » Dit-elle en souriant et en prenant place doucement.  Rosalie c’était clairement la crainte de se faire descendre dans les critiques et son manque de confiance en elle qui jouait pour beaucoup en ce moment. "Tu vas bien ?"

Rosalie était une grande illustratrice jeunesse et une romancière, mais non on ne la connaissait pas là-dessus, la raison étant simple, son trop grand manque de confiance en elle faisait en sorte qu’elle n’arrivait pas à mettre son nom sur ses romans. Elle aimait beaucoup écrire, elle avait malgré son jeune âge une écriture mature et donc il aurait été impossible qu’on sache que c’était elle. De toute façon, toute personne qui la voyait en compagnie d’éditeurs ou autres auteurs, pourraient facilement croire que c’était pour une proposition de contrat d’illustration alors ça allait.

De plus, elle ne faisait pas trop reconnaître, justement parce qu’une illustratrice c’est beaucoup moins connu que l’auteure en soit, bon dans la jeunesse dans tous les cas, mais ça convenait à Rosa cet espèce de secret de popularité. Seulement, oui elle allait comme illustratrice dans les salons du livre, mais non elle n’y allait jamais pour ses romans ça non.

Rosalie était quelqu’un de très, voir trop mature pour son âge, elle était le genre de personne qui ne paraissait pas son âge quand on ne l’a connaissait pas, elle prit un thé « Je vais bien merci beaucoup » Rosalie lui souria, sortie le manuscrit de son sac et lui tendit « Voilà j’ai corrigé tout ce que tu m’As demandé, si tu as d’autres ou certaines que j’Ai mal compris ne t’en fais pas, juste me le dire »