Souffrance mentales et physiques - feat Gabriel

Sujet: Souffrance mentales et physiques - feat Gabriel Dim 17 Sep 2023 - 16:21

Souffrance mentales et physiques - feat Gabriel

Excepteur sint occaecat cupidatat non proident

Vous ne pouvez pas vous imaginer l'état d'esprit dans lequel j'étais ces derniers temps. Depuis que Gabriel était passé chez moi je dois dire que j'allais au plus mal. Je souffrais beaucoup de ne pas pouvoir être avec lui. Savoir qu'il ressentait quelque chose pour moi lui aussi, mais ne pas pouvoir être avec lui, c'était particulièrement horrible. Je n'avais pas essayé de reprendre contact avec lui, même si ça me démangeait croyez moi, combien de fois j'ai regardé son nom sur mon téléphone avant de le reposer. Il avait fait son choix, je devais le respecter même si la douleur était pour le moment difficilement supportable. J'essayais de me concentrer sur mon fils, sur mon travail, mais j'avais clairement la tête ailleurs et je ne faisais que penser à lui. Je n'avais pas été très performant au travail aujourd'hui, j'avais à peine avancer sur la fête que je préparais. J'avais juste envie de rentrer et d'aller me coucher, mais j'avais encore beaucoup de choses à faire en rentrant. Dur la vie de père célibataire. Timéo était avec la nounou pour le moment et j'étais sur la route du retour. Je faisais souvent la route à pied ces derniers temps ça me permettait de réfléchir. Sac à dos sur l'épaule, chemise autour de la taille je marchais tranquillement, il faisait déjà noir. Je vivais un quartier qui craignait un peu, mais je restais dans mes moyens. Passant par une ruelle habituelle j'essayais de ne pas prêter attention aux deux hommes qui étaient là faisant comme ci je ne les avais pas vu. Quand j'arrivais à leur hauteur l'un deux me barra le chemin. "Je te connais toi.." Effectivement, je l'avais moi même reconnu et ça signifiais le début des emmerdes.. "Vous devez me confondre avec quelqu'un d'autre, je ne vous connais pas. Laissez moi passer s'il vous plait." Je pouvais lui rentrer dedans, mais le but c'était de passer sans problèmes. Je savais très bien me battre même si je n'avais pas dû le faire depuis un petit moment. "Rimarrai lì mio carino." Le fait qu'il parle italien était certainement pour me tester, mais je n'allais pas y réagir. "Désolé je ne parle pas espagnol." J'essayais de m'en sortir comme je le pouvais. Je tentais de forcer le passage, mais évidemment ça ne passait pas. Le deuxième m'attrapa et me maintena le temps que l'autre me frappe à plusieurs reprises dans l'abdomen. Ça ne faisait pas du bien. Je repris un peu le dessus en les frappants à mon tour, mais j'avais perdu en vivacité. Je me pris une série de coups au visage qui me mirent KO. Je tombais inconscient au milieu de la ruelle. Je ne sais absolument pas combien de temps. Je sais juste que c'est la voix de Gabriel qui me ramena à la réalité, enfin réalité je crus que je rêvais sur le coup. Il essayait de me faire reprendre conscience, je l'entendais de loin puis sa voix se rapprocha doucement. Bon sang j'avais mal partout.. Je m'accrochais à son bras alors qu'il m'aidait à m'asseoir. "Je suis mort s'ayez ?" Oui parce que j'avoue que j'imagine que c'est son visage que je verrais en arrivant de l'autre côté.. Ma mâchoire était douloureuse tout comme chaque centimètres carrés de mon corps, je souffrais presque autant sentimentalement que physiquement à présent.

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Souffrance mentales et physiques ft @Alejandro L. De Luca

J'étais dans un état second depuis mon entrevue avec Alejandro, je pense pouvoir dire que c'est Dean qui me maintenait en forme parce que j'étais au fond du gouffre, calypso essayais de savoir mais ca nous valait juste des prises de tête, la situation devenait vraiment difficile et je songeais sincèrement a partir, ca devenait beaucoup trop difficile à supporter. Je faisais mon travail de manière automatique, sans grande conviction, j'avais pas foi à grand chose en ce moment je dois dire. J'étais censé patrouiller, faire ma ronde ce soir, pourtant j'avais juste envie de finir dans un bar jusqu'à ne plus me souvenir de cette longue soirée, seul, une fois de plus.... Calypso n'était même plus là, elle était en formation pour presque 15 jours alors j'étais réellement toute seule, c'était assez loin de me réussir pour le coup. Alors que je patrouillait calmement sans but particulier j'eus vent d'une altercation un peu plus loin, j'étais le premier sur les lieux puisque j'étais à deux rues, indiquant donc la fin de l’altercations et le non besoin de monde sur place, rapidement je remarquais quelqu'un au loin. Je me dépêchais d'aller voir comment il allait, quel ne fut pas ma surprise en découvrant Alejandro, a moitié conscient, gisant au sol, je le prenais doucement pour vérifier ses constantes, je voulais voir si il était vivant et j'essayais surtout de pas paniquer, non Gabriel c'est une personne comme une autre, blessée alors reste professionnel !

- Alejandro, Ale, tu m'entends ?

J'avais eu le temps d'appeler une ambulance avant qu'il ne reprenne conscience, il était en bien mauvais état, je l'aidais à s'asseoir tout en vérifiant qu'il n'avait pas de blessure grave que je risquais d'aggraver en le déplaçant, il me demandais si il était mort, je riais tout doucement

- Non tu n'es pas mort et je suis loin d'être un ange mais tu es bien blessé alors ne bouge pas j'ai déjà appeler une ambulance. Est ce que tu arriverais à me dire ce qu'il t'est arrivé ?

Même blessé il restait incroyablement canon, je venais poser ma main a sa joue, caressant doucement sa joue, je lâchais un soupir léger, je devais rester professionnel mais je m'inquiétais terriblement pour lui, je fus soulagé en attendant l'ambulance arriver au loin

- reste avec moi d'accord, je ne te lâche pas d'une semelle je te le promet mais reste avec moi, sers ma main et reste avec moi, tu peux faire ca pour moi ?

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Je ne suis vraiment pas du genre à chercher les ennuis, au contraire. Je suis plutôt du genre discret à faire en sorte qu'on ne me remarque pas surtout depuis que j'ai quitté l'Italie. Disons que ce n'était pas dans mon intérêt de faire parler de moi. Je restais dans mon coin, surtout en ce moment, je n'avais pas envie de grand chose à part de déprimer tout seul. A côté je m'occupais de Timéo et de mon travail, je ne pouvais pas faire plus, j'en étais pas capable. Je voulais simplement rentrer chez moi me poser et essayer de ne penser à rien. Malheureusement je croisais la route de deux mafieux italien, évidemment. Cela faisait longtemps que j'étais parti alors j'avais au moins espoir qu'ils ne me reconnaissent pas. Je lui disais vaguement quelque chose, mais je jouais la carte de l'idiot. Bon ils me passèrent à tabac malheureusement. Ils me mirent dans un sale état et me laissèrent inconscient au milieu d'une ruelle. Quand je repris conscience tout ce que je savais c'est que j'avais très froid, que j'avais mal partout. Le seul point positif c'est que je voyais Gabriel. Si j'avais su que me faire tabassé le ramènerait prêt de moi je l'aurais fait plus tôt.. Au début je crus vraiment être mort. "Non tu n'es pas mort et je suis loin d'être un ange mais tu es bien blessé alors ne bouge pas j'ai déjà appeler une ambulance. Est ce que tu arriverais a me dire ce qu'il t'est arrivé ?" Même si je l'avais voulu je ne pouvais pas bouger d'avantage de toute manière. Je l'avais fait rire et ça croyait le ou non ça me soulager d'une grande souffrance déjà. J'essayais de me rappeler, mais je dois dire que j'avais affreusement mal à la tête. "Je crois oui.. Je rentrais du boulot, j'ai croisé deux types pas très nets.. Ils ne voulaient pas me laisser passer, j'ai essayé de passer de force, ils me sont tombés dessus." J'avais fait exprès de ne pas donner certains détails, comme le fait qu'ils soient italiens et que l'un d'eux semblait m'avoir reconnu. Je ne voulais pas qu'il se fasse des films. C'était peut-être rien, cela ne voulait pas dire que la mafia allait me tomber dessus. Si ? Je n’en savais rien, mais on avait déjà assez de soucis à gérer. J'avais parfois l'impression de reperdre conscience et de revenir. Je devais avoir eu un sacré choc à la tête. Je gardais ma main posée sur la sienne. "reste avec moi d'accord, je ne te lâche pas d'une semelle je te le promet mais reste avec moi, sers ma main et reste avec moi, tu peux faire ca pour moi ?" J'allais essayé en tout cas, mais s'était pas gagné. Je me sentais vraiment faible. "Tu sais bien que si c'est pour toi je me battrais de toute mes forces.." A part Timéo je n'avais pas plus grande motivation que lui. En parlant de Timéo il fallait prévenir la nounou. "Il faut prévenir.. La nounou.. Timéo.." Ma tête tourna à nouveau et j'avais beau me battre de toutes mes forces c'était extrêmement difficile de ne pas m'endormir. Après ça je suis resté à moitié conscient jusqu'à l'hôpital. C'est comme ci j'étais là sans être là. On me fit des examens et le verdict tomba rapidement, j'avais la jambe droite cassée à deux endroits, un petit traumatisme crânien, des côtes fêlées et de nombreux hématomes sur tout le corps. Après ça on me plaça en salle de réveil je finis par revenir chez les vivants serrant doucement la main que je sentais dans la mienne. Rouvrant les yeux, je fus comme soulagé de voir que Gabriel était toujours là, il semblait inquiet alors je voulais le rassurer tout de suite. "Tu as une mine affreuse." Je souris doucement reprenant doucement pleinement conscience. "J'ai l'impression qu'une équipe de foot m'est passé dessus.." C'était un peu la sensation que j'avais, d'avoir été piétiné.

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j' aimais mes rondes, en général c'était assez calme, bon c' est sûr que quand on traîne sur overtown on s' attend souvent à de l' activité. Pour le moment c' est surtout à Alejandro que je pensais, j'étais pas loin de chez lui et même si je faisais tout pour l'éviter une part de moi se demandait si j' avais une chance de le croiser par hasard. Bon j' aurais préféré ne pas le croiser au final vu les circonstances actuelles... Je l' avais trouvé inconscient dans une ruelle, il avait a priori était tabassé. Ma première pensée vu qu'il était mort vu son état alors croyez moi dès que j'ai repéré un moindre signal vital j' avais appeler une ambulance, leurs demandant de se dépêcher. L' avantage des forces de l' ordre c' est qu'ils ne trainent jamais quand c'est nous qui les appelons. Il me demandais s' il était mort, je riais même si c'était nerveux, lui disant que non il était bien vivant même si mal en point. Je voulais surtout qu'il ne bouge pas trop, il ne devait pas aggraver son état. Je lui demandais si il savais ce qu'il s'était passé, j'étais pas convaincu mais c'était pas le moment de déblatérer

- d' accord, on va s' occuper de toi d' abord et je verrai pour régler ça.... Je suis vraiment désolé de ne pas être arrivé plus vite....

Pour le moment j'étais plus inquiet de son état que de la situation, je lui demandais de rester conscient, je ne voulais pas qu'il me lâche et ça semblait difficile pour lui alors je m'inquiète encore plus. Je lui promettait de rester à ses côtés, soyons pas clair c'est pas le flic qui parle la... Je voulais qu'il serve ma main, je voulais surveiller ses réflexes. J' affichait un petit sourire quand il dit vouloir se battre pour moi, c'était pas le moment de draguer Alejandro tu sais ?

- Garde tes forces au lieu de dire des bêtises, accroche toi, tu te battras pour moi plus tard mais pour ca t' as intérêt à survivre. Je vais appeler la nounou t'inquiète ca va aller, j'irai voir comment il vas plus tard aussi si ca peut te rassurer

je le voyais perdre la moitié conscience, je le serrais dans mes bras, lui chuchotant encore et encore de se battre. Quand l' ambulance arriva je montais avec eux, j' avais promis de pas le lâcher alors je tenais parole. Je restais en salle d' attente alors qu'il passait des examens, j' étais terriblement inquiet. Vous savez ce à quoi j'ai pensé ? Et si j'étais resté ? Ou pire si je le perdais alors que je suis partie ? Il était toujours avec les médecins, je ne savais pas ce qu'il se passait, ça me stressait. Un médecin m' expliqua rapidement pourquoi c'était long, c'était pas avec ça qu'ils allaient me rassurer.. On vint ensuite l' informer qu'il était en salle de réveil alors je me dépêchais de partir a ses côtés je voulais pas qu' il soit seul a son réveil. D' ailleurs je lui tenais la main quand il se réveilla, ça m'avait paru une éternité. Je me mis a rire quand il critiqua la mienne

- si tu voyais la tienne crétin. Me refait plus jamais ça c' est compris? Je te jure que je te tue moi même si tu refais ça Alejandro

je venais poser mes lèvres à son front. C'était une mauvaise idée mais la de suite ça ne m'importait pas

- je pense que tu serais dans un meilleur état après l' équipe de foot. Qu' est ce qu'il s' est vraiment passé ?

je caressais ses cheveux en souriant, il m'avait vraiment fait peur et il avais pas intérêt à recommencer

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Je sais que j'aurais du lui dire directement les vrais motivations qu'avaient ces types. Ça changeait quoi au fond ? Le résultat était le même après tout. Je ne voulais pas qu'il commence à penser que Calypso et moi on était en danger. Ce n'était pas faux cela dit, mais pour le moment il n'y avait pas de quoi s'inquiéter. Il m'avait à peine reconnu, oui je sais j'essaie de me rassurer moi même là. En tout cas ils ne m'avaient pas ratés. "D accord, on vas s occuper de toi d abord et je verrai pour régler ça.... Je suis vraiment désolé de pas être arrivé plus vite..." Je ne lui en voulais pas, il était là maintenant et c'était déjà très bien. "Ne le soit pas, tu es là c'est le principal." Je n'en demandais pas plus c'est tout ce qui comptait pour moi actuellement. Ca m'aider à supporter la douleur, j'avais besoin de sa présence il m'avait beaucoup manqué. Je luttais vraiment pour rester conscient il me demandait de le faire pour lui alors évidement je lui rappelais que pour lui je me battrais jusqu'au bout. Je souris à mon tour quand je vois un sourire apparaître sur ses lèvres. "Garde tes forces au lieu de dire des bêtises, accroche toi, tu te battras pour moi plus tard mais pour ca t as intérêt à survivre. Je vais appeler la nounou t'inquiète ca va aller, j'irai voir comment il vas plus tard aussi si ca peut te rassurer." C'était loin d'être des bêtises, si je devais me battre pour quelqu'un ce serait pour lui sans hésitation. "Il en faut beaucoup pour me tuer ne t'en fais pas.. Je veux bien que tu ailles le voir il a jamais passé une nuit sans moi.." Je dois dire que ça me stressé aussi, j'avais l'impression de le laisser tomber lui et je n'aimais pas cette sensation. Je me sentais vraiment mal, épuisé. Je sentis qu'il me prit dans ses bras et j'aurais aimé y rester pour toujours je dois dire. Je me souvenais que vaguement de ce qui se qui se passa ensuite, comme ci j'avais repris conscience par moment avant de sombrer à nouveau. Finalement je finis par revenir à moi, Gabriel était toujours là et ça m'a touché dans un sens parce qu'il aurait très bien pu partir. Je ne pus retenir une remarque qui avait pour but de le faire sourire. J'eus même le droit à un rire ce qui me fit sourire de plus belle. "si tu voyais la tienne crétin. Me refait plus jamais ça c' est compris? Je te jure que je te tue moi même si tu refais ca Alejandro." Je fermais les yeux alors qu'il déposait ses lèvres sur mon front. Il n'imaginait pas à quel point sa présence me faisait du bien. J'avais posé ma main sur sa joue sans vraiment m'en rendre compte. "Je vais essayer promis." Je lui fis remarquer que j'avais l'impression qu'une équipe de foot m'était passé dessus. "Je pense que tu serais dans un meilleur état après l' équipe de foot. Qu est ce qu'il s est vraiment passé ?" Il n'avait pas tort. S'il me demandait ce qui s'était vraiment passé, c'est qu'il avait compris que je ne lui avais pas tout dit. Vraiment pas facile de mentir à un flic.. Pour l'instant je me concentrais sur ses gestes tendres, il caressait mes cheveux et ça m'apaisait. Je gardais un regard tendre dans le sien, comment voulez-vous sérieusement que je résiste à cet homme ? Je ne sais pas si c'est parce qu'il prenait soin de moi, mais je lui parlais plus facilement. "Okay je t'ai peut-être pas tout dit, mais je ne veux pas que tu imagines le pire okay ? Je suis sûr que c'est rien.. Si ils m'avaient vraiment reconnus je serais mort ou alors ils m'auraient emmenés. Je les ai reconnus moi.." Gabriel était le seul qui connaissait notre passif avec Calypso, il nous avait aidé à recommencer une nouvelle vie ici et rien que pour ça je lui en serais éternellement reconnaissant. J'étais pas idiot je savais qu'on risquait d'être retrouver un jour même si pour le moment on devait toujours nous croire mort en Italie. "Merci d'être resté.. Ca me fait du bien de te savoir à mes côtés." Je ne pouvais pas rêver d'un meilleur soutien après tout.

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Je gardais Alejandro dans les bras, j'avais peur qu'il me lâche si je m'éloigne, sa conscience ne semblait pas tenir à grand chose, forcément j'étais inquiet parce que ca semblait pas être juste un coup de malchance, on met pas quelqu'un dans l'état la juste parce qu'il est devant nous, ca sonnait plus règlement de compte et c'est surtout ça qui m'inquiète mais pour le moment je m'occupais surtout de le garder avec moi, je m'excuse de ne pas être arrivé plus vite mais a priori il ne m'en voulais pas, je souriais légèrement. comme je le disais j'avais peur de le perdre et je me demandais ce que ca aurait changé si ce soir là je n'étais pas parti de chez lui. Il disait vouloir se battre pour moi, oui c'était adorable et une part de moi voulait le voir se battre mais à l'heure actuelle c'était pour autre chose qu'il allait devoir se battre. On parlait de son fils, il était à moitié vivant et il pensait à son fils, c'était un père formidable, je lui souriais pour le rassurer

- J'irai le chercher quand tu iras mieux et je le ramènerai chez toi, je dormirai chez toi pour qu'il est son lit, ne t'inquiète pas pour lui tout ira bien. Et j'aimerai bien qu'on test pas tes limites, tant mieux si il en faut beaucoup pour te tuer mais évitons de jouer s'il te plait d'accord ?

j'étais inquiet pour mon beau frère mais surtout pour l'homme que j'aime même si j'ai beaucoup de mal à l'admettre, il partait et revenait sans cesse, c'était pas normal, je le gardais dans mes bras, le suppliant presque de pas me laisser, heureusement les ambulances étaient vite venue et l'avaient emmené, je ne l'avais pas lâcher, comme promis. Tout avait semble être une éternité, j'avais peur qu'on vienne me dire qu'on avait pas pu le sauver, croyez moi j'en vois souvent des blessés, certains ne survivent pas pour moins que ça. Forcément quand on m'annonça qu'il allait bien je courais presque a sa chambre, je voulais être la a son réveil, je voulais pas qu'il soit seul un moment, je tenais sa main quand il se réveilla, je riais de sa remarque, si il disait des conneries c'est qu'il allait bien. J'avais quelques gestes de tendresse mais ils étaient instinctifs, je n'avais pas envie de me préoccuper de la bienséance à ce moment précis. Je venais lui promettre que si il me faisait peur comme ca je le tuerais moi même. Je pinçais les lèvres, je voulais quand même connaitre la vérité, qu'est ce qu'il s'était passé dans cette ruelle, sa réponse ne me plaisais pas du tout pour le coup...

- Pardon ? Ne pas imaginer le pire ? tu dis ça comme ci ce n'était rien Alejandro ! Ou alors il t'auraient laisser en vie pour pire après, non c'est pas rien Alejandro, je vais régler ça pour vous éviter les soucis, tu me donnera le maximum d'infos sur eux et je gérais le problème

Je m'apaisais légèrement quand il me remerciais d'être rester, évidemment , c'était la moindre des choses quand même, je savais que j'allais devoir appeler sa sœur pour l'en informer aussi. je prenais sa main en souriant, même bien amoché il restait incroyablement beau, je ne devais pas céder, c'était un moment de faiblesse, une inquiétude mais je ne devais pas céder à la tentation, il était un peu mon fruit interdit et je devais résister

- Je t'ai promis que je te laisserai pas, je tiens parole. D'ailleurs j'ai appeler la nounou, elle garde Timéo jusqu'à ce que tu sois assez en forme pour que je te laisse et que j'aille le chercher, il va bien , il a fait une sieste donc il était tout joyeux quand j'ai appelé. Tu sais que je vais devoir appeler Calypso pour la prévenir ? Je ne lui dirai pas qui c'était car je ne veux pas qu'elle s'inquiète pour ça. Sinon, comment vas-tu ? des médecins devrait bientôt passer pour te donner des détails parce que à part des os en moins et ton cerveau qui a décorner j'ai rien compris à ce qu'ils m'ont expliqué, j'étais trop inquiet pour écouter

A mesure que je tenais sa main je continuais de me rappeler que je ne pouvais pas et que je ne faisais que soutenir mon beau frère actuellement mais c'était assez peu convaincant pour le moment

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J'avais eu de la chance que ce soit Gabriel qui m'ait trouvé, une chance qu'il soit dans le quartier. Je pense que si on se serait juste croisé comme ça, on aurait à peine osé se parler. La s'était différent, il essayait de me faire garder conscience, ce que j'avais beaucoup de mal à faire je dois dire. On parlait de Timéo, je m'inquiétais du fait de ne pas être là pour lui ce soir, je ne voulais pas qu'il se retrouve seul. Il avait besoin de moi, il n'avait jamais passé une nuit loin de moi. Je rassurais en même temps Gabriel sur le fait qu'il m'en faille bien plus pour mourir. "J'irai le chercher quand tu ira mieux et je le ramènerai chez toi, je dormirai chez toi pour qu'il est son lit, ne t'inquiète pas pour lui tout ira bien. Et j'aimerai bien qu'on test pas tes limites, tant mieux si il en faut beaucoup pour te tuer mais évitons de jouer s'il te plait d'accord ?" Je lui souris doucement, okay j'allais essayé, rien que pour pouvoir voir ce sourire à nouveau. "Je te remercie pour Timéo, il risque d'être perturbé sinon.." C'est pas ce que je voulais pour mon fils. Il avait besoin de repère, de sécurité. J'étais aussi rassuré du fait que Gabriel allait s'occuper de lui, il y a peu de personne à qui je suis capable de laisser mon fils et il en fait partie évidemment. Une fois à l'hôpital et après avoir subi une légère opération, je m'étais retrouvé en salle de réveil. J'en profité pour discuter avec Gabriel. C'était comme ci il n'y avait pas de barrière entre lui et moi à ce moment-là. Bon après c'était peut-être les médicaments qui me faisaient imaginer des choses aussi c'est possible.. Il voulait en savoir plus sur mon agression alors je lui avouais que j'avais reconnu les agresseurs. Quand il me dit qu'il voulait s'en occuper lui même je n'étais absolument pas d'accord avec ça. Je savais très bien de quoi ils étaient capables et je ne voulais pas qu'il lui arrive quelque chose. "Pardon ? Ne pas imaginez le pire ? tu dis ca comme ci ce n'étais rien Alejandro ! Ou alors il t'auraient laisser en vie pour pire après, non c'est pas rien Alejandro, je vais régler ça pour vous éviter les soucis, tu me donnera le maximum d'infos sur eux et je gérerais le problème." J'étais persuadé que si ils m'avaient laissé en vie c'est qu'il avait un doute alors je misais la dessus. "Je sais que tu es un excellent flic Gabriel, mais je ne veux pas que tu mettes le nez là dedans tu m'entends ? On parle de la mafia italienne.. Je refuse que tu te mettes en danger pour ça. On ne sait pas si c'était personnel ou si j'étais juste un défouloir de passage donc tant qu'on en sait pas plus reste en dehors de ça, je t'en prie d'accord ?" Je m'inquiétais vraiment, parce que clairement je savais que c'était une tête de mule et que son instinct de flic voudrait prendre le dessus, mais je ne voulais pas ça. Je gardais ma main dans la sienne, je caressais avec tendresse le dessus de sa main avec mon pouce. J'avais beaucoup de mal à lâcher son regard pour le coup. Je le remerciais d'ailleurs d'être resté avec moi. "Je t'ai promis que je te laisserai pas, je tiens parole. D'ailleurs j'ai appeler la nounou, elle garde Timéo jusqu'à ce que tu sois assez en forme pour que je te laisse et que j'aille le chercher, il vas bien , il a fait une sieste donc il était tout joyeux quand j'ai appelé. Tu sais que je vais devoir appeler calypso pour la prévenir ? Je ne lui dirai pas qui c'était car je ne veux pas qu'elle s'inquiète pour ca." J'étais rassuré pour mon fils c'était une bonne chose qu'il ait dormi et il me manquait déjà beaucoup. Quand il me parla de ma sœur ce fou moins réjouissant. "On est pas forcé de lui en parler tout de suite.. Je la connais elle va vouloir abandonner son poste pour venir s'occuper de moi. C'est important pour elle alors je préférais ne rien lui dire.." Certes elle m'en voudrait à mort en rentrant, mais bon. Je ne savais cependant pas comment j'allais faire parce que j'avais bien senti que j'étais dans le plâtre, j'en savais pas beaucoup plus pour l'instant je devais attendre le passage du médecin. "Sinon dit moi comment vas tu ? des médecins devrais bientôt passer pour te donner des détails parce que a part des os en moins et ton cerveau qui a décorner j'ai rien compris a ce qu'ils m'ont expliquer, j'étais trop inquiet pour écouter." Je souris doucement. "T'es encore plus mignon quand tu t'inquiètes pour moi.." Je me mordillais légèrement la lèvre avant de redevenir un peu plus sérieux. "A part la souffrance physique tu veux dire ? Cava." Même moi je n'y croyais pas tellement c'était peu convainquant.. J'allais reprendre la parole quand le médecin entra dans la pièce se présentant. Il m'expliqua ce que j'avais dû subir, les blessures que j'avais donc et surtout il m'annonça que j'allais devoir être tranquille pendant plusieurs semaines. "Sérieusement ? J'ai un bébé à m'occuper, j'ai mon travail.." Je n'aimais vraiment pas ce qu'il me disait. Il me précisa d'ailleurs que si personne ne pouvait m'aider chez moi j'allais devoir rester au moins dix jours sous surveillance à l'hôpital. Je soupirais vraiment pas emballé à l'idée de rester ici parce que ça voulait dire ne pas avoir mon fils avec moi pendant ce laps de temps. Ma sœur n'était pas là et je ne me voyais pas imposer ça à Gabriel..

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oui j' agissais totalement en contradiction avec ce que j' avais dit jusque là mais les circonstances étaient particulière, en temps normal je lui aurais dit bonjour et j' aurai fui tête baissée pour ne pas craquer mais la mon cerveau voulait juste se demander ce qu'aurait été notre vie sans lui. Tout ce qui qu'importait était qu'il reste en vie et la première étape c'était de rester conscient. Je lui ai parlé de son fils, il s'inquiétait pour lui alors je venais le rassurer, je n' allais pas changer ses habitudes pour sa première nuit sans son papa c'était mieux. Je souriais légèrement

- Ca va le faire, tu me donnera ses rituels du coucher, ses habitudes et ce que je suis sensé faire et je m' en chargerais

nous étions vite partis avec l' ambulance et s' en suivis le moment le plus long de la vie sans doute. Être dans la salle d' attente ne pas savoir si la personne va survivre c' est horrible et les médecins m' avaient expliqué qu'il devait subir une opération mais j' avais rien compris, il y avait seulement le mot vivant que je voulais entendre. Je le regardais tendrement alors que j' attendais de le voir se réveiller, souriant quand il ouvrit les yeux, j'étais rassuré. Quand je lui demandais des détails sur l' agression sa réponse fut loin de me plaire, il était hors de question que tout ca reviennent dans leur vie, ils s'étaient tout deux bien trop battu pour avoir cette vie justement, évidemment il n'était pas d'accord pour que je fouille là dedans, c'était assez mal me connaître, je m'abstiendrai peut être si aucun autre incidents n'arrive, quoique, j' ai pas envie d' attendre que l'un d'eux soit mort...

- oui je t'entend mais il est hors de question que je laisse passer ça. J' ai pas envie d'attendre de savoir si c'était personnel ! J'aurai le droit de fouiller quand ? Quand un de vous deux sera mort ? Justement laisse moi fouiller je saurais bien vite ce qu'ils t'ont voulu. Et oui je suis un excellent flic, même un des meilleurs alors fait moi confiance

De toute façon j' agirais probablement même sans son accord, je pouvais tout à fait enquêter de loin pour le moment après tout, nous nous regardions simplement main dans la main, il avaient des yeux magnifique et un sourire à tomber, je souriais alors qu'il me remercier d' être rester. Je lui disais luu avoir promis mais c etait surtout parce ce que j aurais ete incapable de partir. Je sais que je ressens des sentiments forts pour lui et j' essaie de les enfouir, je ne peux pas me permettre de tomber amoureux du frère de ma fiancée, le problème c' est que d' avoir failli le perdre me confirmer vraiment que je voulais être avec lui, j' avais juste toujours pas le droit alors je devais le fuir, je devais partir, sortir de cet chambre... J en etais juste incapable. Je lui parlais de son fils et de sa soeur, je devais détourner nos attentions

- elle va nous détester si on ne lui dit pas tu sais ? Je te laisse prendre cette décision si tu le souhaite mais es tu vraiment sûr que c'est une bonne idée ? Je lui dirais de rester sur place, je viendrais te voir régulièrement pour la rassurer si c'est nécessaire. Et je peux comprendre que son frère compte plus que son travail, tu es vraiment sûr de rien vouloir lui dire ? De toute façon elle est sensé rentrer dans 10 ou 11 jours je crois

Après tout c'était son choix et je ne pouvais pas le forcer, bon calypso m'en voudrais a moi aussi mais ca finira par lui passer tant que son frère est en vie c'était un moindre mal je pense. Dans un sens si elle ne revenais pas de suite ca m'arrangeait car je pouvais faire le point dans mon cerveau et croyez moi y en a du bordel en ce moment. Nous attendions le médecin avec Alejandro, je comprendrai sans doute bien mieux ce qu'il se passe maintenant que je le sais en vie, je lui expliquais m'être trop inquiet pour comprendre ce que les médecins m'avaient expliqué de son cas. Je ne pus retenir un petit rire nerveux quand il dit me trouver mignon quand je m'inquiète, j' en profitais aussi pour lui demander comment il allais

- j'aimerais ne plus avoir à m'inquiéter de ça à l' avenir imbecile, si ca peut t' empêcher de mourir je veux bien être mignon plus souvent. En général je veux dire mais surtout à ce moment précis, tu veux que j'appelle une infirmière pour augmenter les médicaments ?

je préférais parler de la souffrance physique parce que le reste de la conversation est bien trop difficile, je préfère fuir cette conversation pour être honnête. Nous fumes cependant interrompu par les medecins qui vinrent nous parler du cas de Alejandro, a priori il était bien amoché et allais avoir besoin de soutiens, quand le médecin expliqua qu'il devrait être accompagner pour sortir de l'hôpital j' avoue ne pas avoir beaucoup réfléchi à ce que je faisais

- Je m' occuperai de lui docteur, je l' aiderai avec son fils et Alejandro pour ton travail bah ça attendra d' accord? Ils se passeront de toi ! Il sera pas seul je resterais le temps qu'il faudra avec lui

j' avais parler bien trop vite et je venais de réaliser ce que j' avais fait, j'étais dans de beau draps... Bon il allait être immobilisé à priori, il pouvait pas être sexy et terriblement attirant sans bouger si ? Mais quel idiot je faisais, dans quoi je venais encore de me fourrer.

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Souffrance mentales et physiques - feat Gabriel

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Le fait que Gabriel me dise qu’il allait s’occuper de mon fils, ça me rassurait grandement. Il y a peu de gens à qui je le confierai dans ce monde et là de toute manière je ne vais pas avoir le choix. Je ne pourrais pas être là ce soir pour lui alors il devait rester entre de bonnes mains. J'acquiesce quand il me dit que je devrais lui donner ses habitudes pour qu’il ne soit pas perturbé. Pour l’heure je suis emmené à l'hôpital et je finis par m’y réveillé en sa présence. Rapidement il veut en savoir plus sur l’agression et je fini par lui dire que j’avais reconnu les deux mafieux. Je ne voulais pas qu’il mette le nez dans cette affaire, j’avais bien trop peur qu’il lui arrive quelque chose. Je sais que je vais devoir batailler dur vis à vis de ça avec lui, mais je sais aussi être têtu. “Oui je t'entend mais il est hors de question que je laisse passer ça. J' ai pas envie d'attendre de savoir si c'était personnel ! J'aurai le droit de fouiller quand ? Quand un de vous deux sera mort ? Justement laisse moi fouiller je saurais bien vite ce qu'ils t'ont voulu. Et oui je suis un excellent flic, même un des meilleurs alors fait moi confiance.” J’essaie de me redresser pour être un peu plus convainquant, mais je grimace sous la douleur. “J’ai confiance en toi, c'est pas la question ! Je t’en prie attends un peu.. J’ai un contact qui surveille les agissements de ma famille, laisse moi d’abord voir avec elle d’accord ?” Je ne sais même pas si Calypso lui en avait parlé, à la base c’est elle qui a engagé la jeune femme, une hackeuse professionnelle qui a acces à tout un tas de base de la police. Elle gardait un œil sur les activités Romano et nous préviendra si quelque chose se passe sur le sol américain. J’avais sur le moment mal pris que Calypso parle de nous à ce genre de personne, mais au final je l’avais rencontré et elle semblait réellement vouloir nous aider. Il voulait prévenir ma soeur de ma mésaventure et moi je n’en avais pas envie. J’avais pas envie de l’inquiéter en plus elle était à l’étranger pour le travail et cela ne servirait à rien de la faire revenir. “Elle va nous détester si on ne lui dit pas tu sais ? Je te laisse prendre cette décision si tu le souhaite mais es tu vraiment sûr que c'est une bonne idée ? Je lui dirais de rester sur place, je viendrais te voir régulièrement pour la rassurer si c'est nécessaire. Et je peux comprendre que son frère compte plus que son travail, tu es vraiment sûr de rien vouloir lui dire ? De toute façon, elle est censée rentrer dans 10 ou 11 jours je crois.” Je ne veux pas lui dire tout court de toute façon dans dix jours je serais retourner chez moi non ? Ça se garde combien de temps un plâtre ? “Je préfère ne rien lui dire, elle pourra rien faire de plus si elle revient à part être sur mon dos alors je ne préfère pas. On lui dira aussi que j’ai fais une chute dans un escalier, inutile de l’alarmer pour rien.” Je n’aime pas qu’on me materne et encore moins dans la situation actuelle. Je ne voulais pas passer plus de temps avec ma sœur et son homme tout en étant fou de lui, ce serait trop difficile à gérer. Gabriel s'inquiète réellement pour moi et je trouve que ça le rend encore plus mignon. Evidemment l’entendre rire ça me fait afficher un grand sourire. J’avais mal, mais pour l’instant c’était supportable. “J'aimerais ne plus avoir à m'inquiéter de ça à l' avenir imbecile, si ca peut t' empêcher de mourir je veux bien être mignon plus souvent. En général je veux dire mais surtout à ce moment précis, tu veux que j'appelle une infirmière pour augmenter les médicaments ?” Je lui fait signe que non, je peux encore attendre un peu. “Non ça va, c’est gérable. Et pour info, tu es toujours mignon.” C’est même bien tout le problème. Je venais de poser ma main sur la sienne quand le médecin entra. Il n’avait pas que des bonnes nouvelles je dois dire. Je ne pouvais pas arrêter le boulot et m’occuper de mon fils, mais je ne pouvais pas non plus rester à l'hôpital. J’allais protester quand Gabriel prit la parole. “Je m' occuperai de lui docteur, je l' aiderai avec son fils et Alejandro pour ton travail bah ça attendra d' accord? Ils se passeront de toi ! Il sera pas seul je resterais le temps qu'il faudra avec lui.” Il allait vraiment s’occuper de moi ? Ce n’était pas rien et je ne suis pas sûr qu’il a réfléchi à l’impact que cela aurait sur nous et notre relation déjà bien ambiguë. “Tu es sûr que ça ne te dérange pas ? C’est déjà compliqué entre nous, je ne voudrais pas que ça aggrave encore les choses..” Je ne voulais vraiment pas devenir un poid pour lui, c’était une sacrée responsabilité. “Je te remercie vraiment pour ce que tu fais..” J’avais envie de le prendre dans mes bras, mais je savais que là tout de suite ce serait compliqué. J’allais devoir attendre de guérir un peu pour ça.

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Vous êtes ma famille ♡

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Timéo, Missy & Gabriel ♡ - La famille, c'est l'Amour. C'est tout ce qui compte. On mesure l'union d'une famille à sa capacité à traverser ensemble les étapes difficiles. Un être sans famille c'est comme un arbre sans branches. — (c) DARK ANGEL

Souffrance mentales et physiques ft @Alejandro L. De Luca

Je ne vais pas le laisser dans l'état la ! Évidement que je vais m'occuper de son fils, je sais à quel point il s'inquiète pour lui alors je ne le vois pas le laisser a une nounou. J'ai l'habitude du bout de chou, ma compagne étant sa marraine on s'en est déjà occupé plusieurs fois. Ce détail réglé je m'intéresse un peu plus à son agression. Ce que je venais d'apprendre ne me plaisais pas et je voulais y mettre le nez. Je l'aide à me redresser en le voyant souffrir, si il a confiance en moi qu'il me laisse faire c'est bien moins dangereux que de le laisser attendre de voir..

- J'attend un peu parce que j'ai confiance en toi mais si je n'ai pas de nouvelles rapidement je prendrais le devant et j'irai me renseigner que tu le veuille ou non..

Je n'aimais pas vraiment le fait qu'il refuse de prévenir sa sœur. On allait se faire défoncer quand elle l' apprendrait j'en étais certain. Ce n'est pas une bonne idée de lui cacher des choses

- Si elle l' apprend , on est mort tous les deux ! Je ne trouve pas que ce soit pour rien mais je te laisse prendre ces décisions. J'espère juste que tu as raison et que ce n'est rien de plus grave…

Je n'étais pas aussi confiant que lui je l'avoue, j'étais certain que la situation allait dégénérer et je me devais de protéger les deux. On discutait ensemble et je m'inquiétais de son état, il avait été pas mal amoché en même temps ! Le pire c'est que me voir m'inquiéter semble le faire rire, il mérite des coups, enfin de ma part pas ceux reçu

- Je le sais que je suis toujours mignon et d'accord si tu as besoin n'hésite pas je cours chercher une infirmière

le médecin nous avait interrompu, apparemment Alejandro allait avoir besoin de temps pour se remettre alors je proposais de m'occuper de lui. Je sais que ce n'est pas malin vu l'état de notre relation mais je refuse de le laisser seul…

- Oui j'en suis sûr, ton fils a besoin de toi et il est hors de question que je te laisse seul ici ! On trouvera une entente, j'en suis certain. Tu comptes pour moi, c'est normal de le faire ! Je t'assure que ça ne me dérange pas.

Il avait besoin de soutien pour pouvoir se rétablir et j'étais content de le lui apporter même si ça n'allait sans doute pas être facile pour moi. On est adulte on saurait garder une relation correcte non ? J'avais envie de croire que les choses seraient simples. Quelle naïveté !

- Si je l'accueille à mon domicile docteur, quand pourra t il sortir ? Que je sache ce que je dois aménager pour lui et son fils.

eh bien oui après tout je n'ai pas vraiment une maison adaptée à un bebe puisque nous n'en avons pas. Il allait falloir que je fasse quelques installations plutôt rapidement a priori.

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Souffrance mentales et physiques - feat Gabriel

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Je ne voulais vraiment pas que Gabriel s’approche de la mafia italienne. Rien de bon ne ressortira de tout ça s’il le fait et puis on n'est même pas sûr que ce qui s’est passé ce soir soit réellement en lien avec tout ça. Je les ai peut-être juste énervés en confondant l’italien et l’espagnol, enfin j’ai fait exprès évidemment. S’il m’avait reconnu je ne serais déjà plus de ce monde ou alors je serais attaché à l’arrière d’une voiture en direction de l’Italie. Je lui demandais donc de ne rien faire et de me laisser gerer, je connais quelqu’un qui surveille les faits et gestes de mon paternel et je suis sur qu’elle saura me renseigner. Je sais qu’il cherche juste à nous protéger Calypso et moi, mais moi c’est lui que je cherche à protéger. “J'attend un peu parce que j'ai confiance en toi mais si je n'ai pas de nouvelles rapidement je prendrais le devant et j'irai me renseigner que tu le veuille ou non..” Quelle tête de mule aussi celui-là je vous jure.. “S’il t’arrives quelque chose je te jure que je te retrouve et que je te botte moi même les fesses !” Flic ou pas, il ne me fait pas peur et je m'inquiète réellement de ce qu’il compte faire. J’ai pas l’impression qu’il sache vraiment dans quoi il s’embarque s’il met son nez la dedans. Je voulais aussi qu’il me laisse gérer Calypso, je n’avais pas envie de la mettre au courant de mon accident, j’avais pas envie qu’elle vienne s’occuper de moi. Elle travaillait et c’était bien comme ça, j’allais me débrouiller. “Si elle l' apprend , on est mort tous les deux ! Je ne trouve pas que ce soit pour rien mais je te laisse prendre ces décisions. J'espère juste que tu as raison et que ce n'est rien de plus grave…” Je soupire doucement, je sais qu’elle ne sera pas contente, mais est-ce que je suis à ça prêt ? “J’en prends la responsabilité t’en fais pas, je lui dirais que toi tu voulais lui dire, mais que je t’ai fait promettre que tu ne le ferais pas. J’ai pas envie qu’elle le sache.” Je cache beaucoup de choses à ma sœur ces derniers temps, c’est surtout pour son bien dans un sens. Gabriel semblait réellement inquiet de mon état et moi je le trouvais beaucoup trop mignon à s’en faire autant. J’aime le voir agir comme ça avec moi, ça me rappelle le jour où il est venu chez moi, le jour où il m’a embrassé avant de me fuir. Finalement tout n’est peut être pas perdu, mais je dois aussi me protéger moi et ne pas me faire des films, il est peut-être juste gentil avec moi. Le médecin m’annonça que sans aide a domicile j’allais devoir rester ici un petit moment et ça me mettait dans tous mes états. Je ne voulais pas être coincé à l'hôpital, je devais gérer mon fils, mon travail, je ne pouvais pas me le permettre. Gabriel proposa de venir chez lui et de s’occuper de nous. Je dois dire que je ne m’y étais pas attendu et je trouvais ça très généreux de sa part. Ca n’allait pas nous aider à rester loin de l'autre, mais je n’avais pas vraiment d’autre solution et évidemment une partie de moi espère que ça nous rapprochera encore davantage. “Oui j'en suis sûr, ton fils a besoin de toi et il est hors de question que je te laisse seul ici ! On trouvera une entente, j'en suis certain. Tu comptes pour moi, c'est normal de le faire ! Je t'assure que ça ne me dérange pas.” Je lui souris doucement, ça me touche, je l'admet. “Si tu es sûr que ça ne te dérange pas alors d’accord. Toi aussi tu comptes pour moi..” Certainement plus que je ne compte pour lui, mais ce n’est pas un concours et sa situation est clairement différente de la mienne, bien qu’elle ne soit pas plus simple à gérer. “Si je l'accueille à mon domicile docteur, quand pourra t il sortir ? Que je sache ce que je dois aménager pour lui et son fils.” Je posais le regard sur le médecin qui réfléchissait rapidement. “On va le garder cette nuit en observation, mais si vous l'accueillez chez vous il pourra sortir dès demain, il faudra qu’il reste tranquille au lit pendant au moins une semaine, puis il pourra commencer à marcher un peu. Il ne faut surtout pas forcer sur la jambe.” Les autres blessures n’étaient que superficielles, c’est ma jambe surtout que je devais prendre le temps de soigner. Rester allongé croyez moi ça ne m’enchante pas du tout. Le médecin est ressorti nous laissant seul à nouveau. “J’espère que t’es prêt à me supporter parce que ne pas bouger pendant une semaine déjà ça va me rendre dingue..” Je risque de beaucoup râler je pense. Je soupire doucement, reposant ma tête contre mon oreiller et le regardant. “Niveau organisation ça va aller ? Te met pas la pression, je me débrouillerai chez toi, je veux vraiment pas que tu te sentes obligé..” Je ne veux vraiment pas être un poid pour lui.

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Souffrance mentales et physiques ft @Alejandro L. De Luca

Je n'aimais pas l'idée de rester loin de tout ça, si ils venaient à retenter quelques chose je voulais etre prêt a anticiper. Je devais pourtant lui faire confiance et rester à l'écart mais soyons clair ça ne me plaît pas du tout et je le lui fait comprendre.

- Il ne m'arrivera rien, j'ai l'habitude Alejandro, c'est mon travail rassure toi

Je suis habitué à s'infiltrer au milieu des psychopathes, je ne suis pas inquiet pour moi mais je veux pouvoir le protéger lui et sa sœur peu importe ce qu'il m'en coûtera. Je n'approuve pas non plus qu'il décide de mentir à sa sœur sur ce qui lui était arrivé ce soir mais je n'avais aucune incidence là dessus, je ne pouvais que le suivre. Si elle le découvre elle va nous tuer c'est certain…

- Ça la concerne aussi Alejandro, elle s'inquiète pour toi c'est normal. Mais je ferais comme tu le demande même si je n'approuve pas du tout

J'étais mort d'inquiétude tant la situation que de son état, il n'avait pas l'air de réaliser la gravité de ce qui lui était arrivé. Ils auraient pu le tuer ce soir, et si il y avait une prochaine fois ? Le médecin refusait de le sortir s' il n'était pas aidé à la maison, ça n'aidera pas notre situation mais il a un fils et je sais qu'il ne supporterait pas de rester ici alors j'ai proposé de l' accueillir. Je souris je sais que je compte pour lui mais je sais aussi qu'il compte plus pour moi qu'il ne le devrait. Le médecin me donne les instructions, je prend en compte du mieux possible

- Pas de problème il ne bougera pas de la semaine, j'y veillerai

Je souris à Alejandro, evidemment que ca ira, j'ai le soirée pour me préparer et installer les affaires de son fils. Je reviendrais le chercher demain et tout se passera parfaitement bien

- Ne t'inquiète pas, je vais de ce pas faire le nécessaire pour que ton fils et lui se sentent chez vous. Je vais devoir te laisser pour la soirée mais je reviens te chercher rapidement. Ça ira ?

Je souris au jeune homme, resté à ses côtés et prendre soin de lui ce sera difficile mais je pense que j'en suis capable, de toute façon je ne le laisserais pas tomber dans une tel situation !

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