Rosalie était chez elle, elle avait décidé, après avoir fait plusieurs dessins pour un des projets qu’elle avait envie d’aller courrir un peu et profiter de cet après-midi, ou il faisait beau et chaud. Enfin voilà qu’elle courrait dans la rue, lorsqu’elle revenu de plusieurs longues minutes ou elle passa à côté d’une voiture.
 
Elle pensait à pleins de choses, mais surtout qu’elle devrait aller à la pierre tombale de sa mère, elle avait des fleurs à aller y dépose,r faire un peu de ménage, mais surtout s’assurer qu’elle reste belle et que sa mère sache que non elle ne l’abandonnerait jamais.
 
Alors qu’elle le contournait, elle ne remarqua pas que le monteur était allumer et l’auto roula un peu vers elle, sans se rendre compte, elle mit les mains sur le capot et fixa le conducteur, mais passant de bronzer à blanche, quand elle reconnu Jacob, elle ne bougea pas une miette « Ja…..cob »

Rosalie ne savait pas du tout que Jacob était si souvent près d’elle, bon il aurait pu passer pour un psychopathe, mais si elle; l’avait vu elle aurait pu dire que non. Elle avait honte d’avoir laisser son père luif aire ça et à la fois elle était plus dans son monde. Par chance qu’elle avait de la famille qui l’a sortait de sa zone de confort, soit cette maison. Elle n’avait pas déménagé parce qu’elle avait eu en héritage la maison familiale, cependant, oui elle avait du mal à changer des choses dedans et assurément que cela l’aiderait de voir un psychologue pour l’aider à cheminer, que ce soit pour l’aider à survivre dans cette maison, ou encore pour l’aider à passer par-dessus tout ça, l’aider à vendre la maison et mieux repartir ailleurs. Elle ne savait pas en ce moment ce qui était le mieux pour elle, mais elle savait que oui elle avait transformé une chambre en bureau, une qui donnait sur l’extérieur, mais au deuxième étage bien sûr.

Voici que les deux venaient de se rencontrer de façon totalement spontanée, en fait, oui il venait de risquer de lui déboiter les deux genoux, mais au moins en ce moment Jacob et elle avait jouer avec le destin. Celui-ci les avait donc réunis pour ce moment du moins. Si elle ce sentait honteuse, lui n’avait pas à l’être, sincèrement, il ne voulait pas qu’il se sente comme ça. Si seulement elle savait, elle n’Avait pas oser du tout lui reparler, parce qu’elle ne savait pas comment le faire, s’excuser pour le feu ? lui dire que non elle ne le referrais pas ? elle ne savait pas qu’il savait pour les viols, encore moins que son père était comme ça. Elle savait que les parents de Jacob étaient divorcés, mais ne savait pas qu’elle était la cause, sinon oui elle n’oserait clairement plus leur parler du tout.

Elle avait retirer un de ses écouteurs en le regardant et en l’observant. « Non non je n’ai rien vraiment, tu fais quoi dans le coin ? » Demanda-t-elle en souriant un peu, elle le regarda, il était encore beau, même plus beau que dans ses souvenirs bien sûr ! « TU veux venir prendre un café ? ou tu es peut-être occupé ? » Elle voulait lui offrir l’opportunité de fuir s’il le voulait ! « je vis encore dans la même maison » Dit-elle en se jouant avec les doigts de nervosité 1

Rosalie ne s’était clairement pas attendu à finir avec un Jacob qui avait presque rentré dedans, enfin le hasard faisait bien les choses, souvent elle se disait dans ses moments que c’était sa mère qui lui envoyait des signes et celui-là soudainement était deux sens, pardonner à son violeur, mais ça elle savait que même sa mère ne lui aurait pas pardonner, alors reprendre contact avec Jacob. Il avait été son meilleur ami et oui elle ne pouvait pas dire qu’il ne lui manquait pas, elle ne sortait plus vraiment, n’Avait pas trop de vie sociale, parce qu’elle arrivait à se trouver des excuses, souvent le dessin bien sûr, c’était un bon passe-partout !

Rosalie était vraiment contente de le voir, le retrouver, enfin, elle avait envie de parler avec lui, savoir ou il en était,c e qui se passait, bref la totale pour recommencer leur relation et donc que ce soit déjà sous le signe de la confiance et du respect. « Allez ne t’en fait pas Jacobi…ça arrive » dit-elle en souriant doucement de nouveau !

Rosalie l’invita donc à aller prendre un café, elle était en paix avec cette décision et donc elle était vraiment heureuse qu’il accepte « Tu prends comme d’habitude 2 crème et 1 sucre ? Ou tu as changé la recette ? » Dit-elle amusé quand même en allant vers la maison. « Ah oui ? C’est vraiment cool ça vraiment, vous allez comment les deux ? » Dit-elle en l’entrainant, puis partant sa machine à café, ça aussi des fois elle se demandait sa vie serait comment avec une fratrie.

Rosalie était plus ou moins bien en sa présence, enfin non il était très bien en voyant Jacob, elle était vraiment heureuse de le revoir, elle était à la fois triste de certains points parce que ça lui rappelait ce gros mensonge qu’elle avait avec lui. Elle ne savait pas qu’il avait aussi un gros et lourd mensonge envers elle. Et qu’au final ce mensonge était le même des deux côté. Rosa était juste heureuse de le revoir, qu’il soit là bien sûr, elle avait le temps de lui faire comprendre qu’il n’avait pas à s’en vouloir bien sûr !

Puis les deux se rendirent en dedans et elle se rappelait ce qu’il aimait dans son café, elle était vraiment contente d’être en sa compagnie, disons qu’entre le centre, sa sortie, son beau-père qui avait été un vrai salaud, sa vie en solitaire, enfin, avec ses tantes, et oncles maternels qui prenaient soin d’elle, mais qui avait tous leur vie et leurs famille à prendre soin. Elle avait bien sûr sa mamie et son papy qui eut aussi s’assurait qu’elle n’oubliait jamais que la famille était là, mais Rosalie avait une peur maladive de déranger dans la vie. « Génial, alors bien heureuse que tu n’es pas trop changer »

Dit-elle en souriant, bien heureuse de partager ce moment avec lui, son meilleur ami qui lui avait vraiment beaucoup manquer au final. Elle s’en rendait encore plus compte en l’ayant devant elle. « Alors c’est vraiment génial, d’aussi loin que je me souviens, Kaylee a toujours vu que le beau côté de la vie, alors ça ne doit pas être trop dure ! Jacob, dit moi comment tu vas pour vrai, pas la fausse réponse » Dit-elle en souriant ! « Félicitation, c’est sur que tu t’amuses, j’en suis sure et certaine » Dit-elle toute souriante ! Elle lui mit aussi de la crème fouetté et des morceaux de chocolat !