Fin de soirée ou non |VanLy

Aujourd'hui, le patron a accepté que Lyle puisse quitté le travail avant l'heure prévue. En effet souvent Lyle arrive avant 22h comme indiquer, il préfère arrivé avant pour tout mettre en place et aider le monde. Et parfois fait en plus . Il est environ 4h et Lyle quitte le bar. Après avoir servit son dernier client qui a demander une margarita. Un client fidèle qui prend habituellement un whisky. Mais pour Lyle il y a quelque chose, alors il donne le relais a son collègue et ami.
Se changeant il vient enfiler sa veste et sort par la porte de service. Marchant tranquillement, il pense à ce qu'il va faire en rentrant. Un petit truc à grignoter et ensuite se mettre au lit, trop fatiguer. D'ailleurs il se demande pourquoi Van ne l'a pas contacter, alors qu'habituellement elle lui dit bon courage pour sa soirée de travail.

Arrivant chez lui, il vient prendre l’ascenseur étant au 15 ème étage. Puis une fois arriver il fait son code et au moment de rentrer il voit les chaussures de Van. Puis ferme la porte et retire ses chaussures et sa veste puis avance vers le salon éclairer et découvre Van assise dans le canapé sans la télé ni rien en route.

Van tu fais quoi dans le silence? Pourquoi tu n'es pas au lit?

Il vient s'asseoir et la regarde caressant sa joue, puis vient l'embrasser tendrement. Et s'allonge comme d'habitude sur ses jambes et la regarde.

Chérie?

Tu t'es levé tôt ce matin-là. Comme tous les matins d'ailleurs. Tu es sortie faire ton jogging avec Twinx, la chienne de la famille. Ta chienne. Maman n'était pas trop ok pour avoir un animal à la maison mais papa a accepté. Vous avez même un chat, Tofu. Après ta balade tu rentres, prends ta douche. Et là, tu as une forte douleur dans le bas ventre. Tu vas prendre un Doliprane mais cela ne passe pas. Seule à la maison avant d'aller en cours, tu hésites à y aller.
Tu sais que ce n'est pas une bonne idée mais tu as regarder sur Google les raisons possible de ce mal de ventre. Et là, tu tombes sur une raison qui te fait réfléchir. Plus de règles. Pertes blanches. Fatigue intense, quelques nausées et vomissements.... Tout était là. Tu te mets a pleuré. Qu'est-ce que tu vas faire ? Tu n'as que 18 ans. Tu es étudiante... Mais au lieu de t'apitoyer sur ton sort, tu te bouge et va à la pharmacie. Prendre un test a faire soit même.
Tu rentres et fait ce test. Tremblante. Enfaite, tu es mitigé. Tu ne sais pas s'il faut être heureuse ou non, quelques soit le résultat. Après tout, tes parents on bien réussi leur vie en t'ayant eu au même âge que toi. Mais ils ont galérer pour que tu es là meilleure vie possible. Des sacrifices. Es-tu prête à tout ça ? Et Karlyle ? Qu'en penserait il ? On a pas encore parler bébé vu notre âge... Il est plus vieux que toi. Il travaille. Mais serait-il heureux ? Veux t'il un enfant maintenant ?
Tu te montes la tête toute seule. Tu n'as pas encore fait ce foutu test. Mais tu vas le faire. Maintenant. Il faut que tu es une réponse. Tu as prit un test donnant même le temps de combien on est enceinte. Ça te stress encore plus. Mais au moins tu sera fixer. Les 5min d'attente te semble longue. Les plus longues de ta vie. Tu ne veux pas regardé... Tu as les mains tremblantes. Ton souffle est court. Tu angoisses. Tu fermes les yeux, place le test devant ceux-ci et les ouvres.
Tu as les larmes aux yeux. Tu vérifies l'emballage pour savoir si c'était vraiment un Positif. Mais la date ne trompe pas. 22 semaines. 6 mois. 6 mois ? Non mais 6 mois ! Comment est-ce possible ? Tu as des symptômes que depuis quelques temps comment cela se fait-il ! Tu pleures. Tu n'sais pas comment réagir. Tu ne sais pas quoi faire. Une tonne de questions te viennent. Sois-tu prévenir tes parents ? Karlyle ? A tout le monde en même temps ? Tu n'en sais trop rien. Le téléphone en main, les mots te manque. Comment annoncer ça ? Tu ne vas pas en cours. Tu es dévasté dans ton lit. Tu ne vois pas les heures passées, blotti en position fœtus dans ton lit. Sans mauvais jeu de mot.

Tu te décides d'en parler a Lyli. Oui, c'est la personne à qui tu vas en parler.  Alors tu décides d'aller chez lui. Tu as les clefs sur toi. Il te les a laissé pour que tu y ailles quand tu voulais. C'était une bonne chose pour le coup. En rentrant, par réflexe et habitude d'être toujours pied nus, tu t'installes dans le canapé. Tu es stressée encore. Lumière allumée. Test posé sur la table basse.
Un bruit te sors de tes pensées. Mais tu ne bouge pas autrement que ton sursaute. Mais tu ne te retourne pas. Ça aurait pu être n'importe qui tu n'aurais pas regarder. Mais c'était Karlyle. Tu te dis que tu as dû rester là un certain temps. Tu te demandes si tu as pensé durant toute la nuit. C'est long. Mais il est plus tôt que ce que tu pensais. Cette voix te rassure. Il te demande ce qu'il y a et pourquoi je ne suis pas couchée. tu n'arrives pas à parler. Il vient posé sa tête sur tes genoux. chérie ? Tu sors de ton bug. Tu arrête de fixé la télé éteinte.hm ? Tu n'arrives à rien. Tu n'oses parler de peur de te mettre à pleurer. D'ailleurs, tu as déjà les larmes aux yeux. Tu essuies tes yeux. Tu ne veux pas paraître faible.

Alors qu'il était allongé, tête sur les cuisses, son regard ayant vue sur le visage, les yeux de Van. Il vient lui prendre sa main pour venir l'embrasser sur le dos de la main de Van. Un peu fatigué par sa soirée de boulot. A prendre les commandes, servir aussi et calmer les clients qui prennent la tête. Car il est le seul qui sait être calme et montrer qui commande dans le bar.
Il n'avait pas vu le test sur la table basse, l'esprit embrouiller par la fatigue et la soirée de travail. Mais en voyant les larmes silencieuses de Vanity, il se redresse rapidement inquiet et vois enfin le test.

Le prenant dans ses mains, il essaye de chercher ce que cela est. Lui un homme perdu avec ce genre de chose. Ayant eu aucune femme avant Vanity. Il lit le nom est prend son portable pour lire ce que cela est. Puis vient comprendre. Un silence vient raisonner après cela. Lui qui a été presque élevé avec le personnel de maison. Abandonner par son père entre guillemets depuis la disparition de sa mère.
Il vient se levé pour aller chercher deux verres et la cruche d'eau et serre dans chaque verres puis commence à boire doucement et vient enfin répondre.

C'est pour ça que tu ne m'as pas envoyer de message ce soir ?

Il pose son regard sur elle, non pas un regard méchant , ni froid. Mais un regard rassurant tout en étant perdu. Puis vient fixer son verre et vient à dire

Et si je ne serais pas un bon père? Cet enfant mérite d'avoir un père stable, pas comme moi.

Lyle n'a jamais évoquer sa relation avec son père, à Van. Il n'a jamais parler que son père l'a envoyer en internat pour qu'il soit tranquille dans son travail. Et qu'il a été élevé par le personnel de maison une fois sa mère disparue.
Son coeur venant se serrer en remontant les images de son enfances, lorsqu'il revoit les autres enfants heureux auprès de leurs père et lui seul sans parents. Pour seul parents entre guillemets le personnel de maison.

La boule au ventre, la peur d'être le portrait de son père. Mais au fond il veut cet enfant, après avoir regarder des vêtements et autres dans le rayon puériculture. Il vient laisser échapper une larme, rapidement il tourne la tête pour ne pas se montrer ainsi.

Il sait que ce sujet n'est pas à prendre a la légère et aussi c'est de sa faute. S'il se saurait protéger il n'aurait pas eu cela. Il vient regarder le ventre de Van un moment en ce disant qu'un petit être est dedans. Mais entre la peur et l'excitation il ne sait plus comment réfléchir.
Finissant son verre, il souffle et vient prendre Van dans ses bras mettant le plaid sur elle.

Puis la regarde en venant enlacer ses mains avec les siennes. Au fond il a toujours rêver de cela. Avoir une famille avec Van. Mais pas aussi vite tout de même.

Assise là, dans cette pièce peu éclairé. Sans télé. Sans musique. Sans bouger. Tu es là. Les yeux dans le vague. Tu ne réagis pas. A rien. Tu trembles. Les nerfs. La peur. Tu trembles. Tout se bouscule dans ta tête. Tu ne sais quoi penser. Tu ne penses a rien. Tu penses a tout. Tout se bouscule.
Un bébé. 6 mois passés. Dans 3 mois. 3 mois pour que ta vie change. Pour que votre vie, a Karlyle et toi, change. A 18 ans. Est-ce envisageable. C'est possible oui. La preuve, tu es née alors que tes parents étaient tout aussi jeune que toi.
Lyli rentre. Il te questionne sur ta venue. Il te questionne sur le silence ambiant. Il te questionne sur le fait de ne pas être encore au lit. Comment être au lit avec une nouvelle telle que celle-là ? Dans quel état tu devrais être ? Tu n'en sais rien. Heureuse ? Apeurée ? Flippée ? Tu n'en sais rien. Tout à la fois. Tant d'émotion se mélange en toi.
Il te sort de ta torpeur. Tu réponds à peine. Un simple hm ?. Il s'était posé sur tes jambes comme a chaque fois. Face à toi. Il te voit. Il voit tes yeux. Alors il se redresse. Et là... Là il voit. Il comprends. Avec son portable il fait des recherches. C'est pour cela que tu n'avais envoyé aucun message. Oui .... Ta voix est faible. Ta voix est tremblante. S'il était un mauvais père ? Et si j'étais une mauvaise mère ? Tu sais qu'il faut le rassurer. Mais tant de questions se chamboulé dans ta caboche brune. Tu seras un père fabuleux. Ta voix change. Ton regard vide de ient vivant. Il a pas fui. Il ne t'as pas engueulé. Il a l'air de prendre les choses .... Aussi normalement que possible. Il s'imagine déjà père. Ça te rassure. Tu lui souris. Tu es stable lyli ... Face à lui, quand il te recouvre du plaid du canapé. Tu sais... J'ai envie d'être maman. Tu soupires et détourne le regard, honteuse de la suite. Mais est-ce convenable ? Tu te mords la lèvre alors qu'il détourne la tête. Tu sais pourquoi il fait ça. Tu le connais par coeur. Tu viens prendre son visage entre tes mains et lui tourne le visage est le tien. Tu vas être un bon père. Tu ne connais pas son histoire avec son paternel. Je n'en doute aucunement ! Tu t'enroules mieux dans le plaid, le recouvrant aussi, le prenant dans tes bras. On fait quoi alors ? La question te tord les tripes. Mais, faut se poser la question. Non ? Tu penses que maman et papa diront quoi ? Tu connais ton histoire de nouveau née et tes premières années de vie. Ils ont bûcher. Travailler sans compter leur heure. Ils ont tout fait pour toi. Tu es prêtes à faire pareil.

Observant Van, il vient mordre sa lèvre. Se sentant mal, car elle est encore plus mal, il ne sait pas ce quelle vie actuellement, seule d'avoir eu a porter cette nouvelle. C'est d'ailleurs pour cela qu'elle est venue le voir. L'écoutant le rassurer. Il vient essayer de trouver un sourire à lui donner, mais il n'arrive pas.
La laissant faire, il se sent vide et incapable de parler après tout ce qu'elle essaye de faire pour lui faire voir l'inverse de ses mots. Il vient a reprendre le dessus et l'entourant du plaid il glisse une main sous les jambes de Van et l'autre autour de des bras. Direction la chambre, qui sera bientôt la chambre parentale.

Arrivant dans la chambre, il vient la poser pour aller éteindre la lumière et passer par la salle de bain, se changeant rapidement et vient dans la chambre en venant lui retirer ses vêtements un par un pour lui mettre son pyjama. Puis vient la prendre dans ses bras et se ressaisit pour enfin parler.

Je ne penses pas que tu seras une mauvaise mère, regarde tu me rassures comme tu peux. Et une mère fait cela à son enfant.Et je sais que tu t'inquiètes déjà pour le bébé.

Regardant un moment la main de Van dans la sienne. Il vient embrasser cette dernière et la regarde dans les yeux.

Tu es certaines que je serais un bon père? Tu sais...J'ai arrêter d'être mannequin pour être auprès de toi. Ce boulot est payer beaucoup comme c'est le soir et nuit. Mais j'ai envie de reprendre mes études pour être un nageur professionnel.

Écoutant l’aveu de Van, il vient lui prendre le menton doucement pour venir l'embrasser tendrement sur ses lèvres. Un doux baiser, un baiser amoureux. Entendre cela lui faisait battre son coeur. Sachant que de son côté s'était pareil. Il avait regarder les vêtements, les doudous et autres. Et avait fait le total des achats.
Se reculant doucement, il vient la regarder dans les yeux.

Alors tu n'es pas seule...J'ai aussi regarder les articles au rayon puériculture. Et je pense que l'on peut réussir. On travail tout les deux.

Elle vient lui redire qu'il sera un bon père. Il vient à se crisper. La prenant dans ses bras, il vient souffler un bon coup et vient expliquer ses questions.

Quand ma mère a disparu, mon père n'a pas hésiter a m'envoyer en internat. Quand je revenais...C'est le personnel de maison qui s'occupait de moi. Tout ce que mon père fait et faisait c'est de me laisser de l'argent, m'acheter des choses. Je ne sais pas ce qu'est de manger avec ou autre.
Si je suis aussi proche de tes parents, c'est tout ce que je n'ai pas eu durant mon enfance et je me sens bien.

A la question a propos du bébé, il vient la regarder. Puis caresse ses cheveux et lui répond.

Je veux le garder...Je veux que le bébé vive avec nous. Mais est-ce que papa et maman seront d'accord que tu viennes vivre à la maison? Car j'ai une pièce qui peu être la chambre du bébé.
D'ailleurs tu as choisi son prénom?

Il vient regarder l'heure et baille à cause de la fatigue. Puis s'allonge et vient prendre Van dans ses bras. Tout en la regardant il vient lui dire.

Il faut en parler a papa et maman, il doivent être au courant. Mais je serais là.Je veux être là pour vous deux.

Il vient regarder le ventre une nouvelle fois et le caresse et l'embrasse doucement. Ignorant que c'est un déni de grossesse. Puis se met à parler doucement.

*Coucou toi je suis ton papa. Ne secoue pas trop ta maman. Et grandit en parfaite santé. Et ressemble moi*

Il vient a rire en regardant Van, puis vient l'embrasser tendrement et l'enlace dans ses bras.

Non tu es magnifique, tu es plus belle que miss univers et monde. C'est toi miss univers et monde. Tu es ma miss a moi

Tu te retrouves là, dans cette villa que tu connais bien. Tu es sur le canapé, sans savoir si c'est une bonne ou mauvaise nouvelle. Tu attendais Karlyle. Dans le silence. En vrai, tu n'y avait même pas fait attention. Tu étais entré avec le double de la clef qu'il t'avait laissé pour que tu puisses venir quand tu voulais. Et pour cette soirée, t'en avais bien eu besoin. Car il est rentré tard. Il bosse le soir. Vous vous voyez surtout le matin car d'habitude tu es au lit quand il rentre. Ça aussi lui a mit la puce à l'oreille que ça n'allait pas. Et c'était peu de le dire.
Le test posé sur la table, tu n'avais pas les mots. Tu n'arrivais pas à parler. Tu ne sais comment lui annoncer. Surtout vu la date à laquelle le bébé arrivera. C'est pour bientôt. Mais tu as fait un déni de grossesse. Tu sais que très rapidement tu allais prendre du ventre. Si ça se trouve dans les jours à venir tu seras grosse comme une baleine. C'est comme ça que ça se passe quand il y a déni de grossesse.
Tu réussi tout de même a parler. Pour rassurer le futur papa. Tu lui dis qu'il serait un bon père. Que oui, ça faisait peur mais qu'on y arriverai. Lui disais plus rien. Tu sais pas trop comment réagir. Alors tu le laisse te porter comme une mariée et te laisse guider dans la chambre. Il te déshabille pour te mettre en pyjama. Sans un mot. Toi tu es devenue une barbie qu'on habille pour s'amuser à lui changer les tenues. C'est après cela qu'il se pose a tes côtés, te prenant dans ses bras et reprends la parole te rassurant sur le fait que tu serais une bonne mère avec, comme exemple, que tu saches rassurer ton homme quand ça ne va pas. Comparant cela à un bébé. C'est pas bête n'empêche, il a raison. Quand il parle de l'inquiétude pour le bébé, il est dans le vrai. D'ailleurs, instinctivement tu dépose une main sur ton ventre, comme s'il était déjà rond. Mais tu as encore ta ligne digne d'un mannequin. Ça devrait pas être difficile à gérer... Lances-tu alors qu'il parle de reprendre ses cours. Tu soupires malgré tout. Disant rien, pendant seulement que ça tombe pas au bon moment. Toi tu n'as qu'un salaire de bibliothécaire a temps partiel et est en ore étudiante aussi.  D'ailleurs, c'est ce que tu lui réponds. On va bosser dur, jonglant entre nos courses et le travail. Il a sûrement oublié ce qu'il vient de dire car il parle dû fait qu'on travaille tous les deux. Ça te fais sourire. Première fois depuis la nouvelle apprise le matin même. Cependant, il s'ouvre à toi. T'expliquant la vie qu'il a eu. Cela te touche et comprends mieux sa crainte d'être père. Ton père n'est pas toi.

Puis tu poses la question. Cette question. LA question. La peur au ventre tu l'as pose. Sa réponse te touche. Te rassure. Oui, je pense que oui. Puis, maman est enceinte aussi. Elle a pas besoin du double de travail. Enfin je l'aiderai c'est normal mais imagine la nuit, sachant pas lequel est réveillé... Non, c'est pas une bonne idée que de rester à la maison. Ils devrait être d'accord. Puis ils t'apprécie ! C'est vrai qu'il a été vite accepté. Malgré la différence d'âge. Le prénom ? Je sais même pas quel sexe a l'enfant. Tu cherches rapidement, pas mal de prénom te viennent en tête. Des mixtes généralement. Mais oui, faut y songer... Vous vous coucher alors qu'il baille. Il a dû avoir une grosse journée. Tu te sens mal de devoir le tenir éveillé .. . Oui, on va leur en parler. Demain ? Tu penses l'annoncer avec un petit cadeau genre une boîte avec des petites chaussures ou quelque chose de ça.

Sur le dos, vous vous êtes couché et il s'adresse au petit dans ton ventre. Ça te fais rire. Ça te fais du bien qu'il réagisse comme ça. D'ailleurs, tu ne sais pas s'il a vu depuis quand tu étais enceinte. Tu sais, dans moins de trois mois tu pourras lui dire tout ça en face a face. L'un contre l'autre, il t'embrasse. Tu lui rends. Tu es bien contre lui. Tu as hâte. Tu l'aime. Autant Karlyle que ce petit être que tu portes. Oui, tu l'aimes déjà. Et tu es rassurée.