Non tu déconnes, j'espère? (PV Hansel, Juan)

Non, tu déconnes, j'espère?

Mike était en repos aujourd’hui, du moins forcé, son supérieur l’a mit en arrêt depuis, qu’il a su que le jeune policier avait cassé les dents à un suspect potentiel lors de sa dernière mission. Il ne comprenait pas pourquoi il avait été mis au arrêt, ce mec n’avait pas l’air de coopérer et seule la manière forte a marché sur lui. Bref, il était là chez lui à s’emmerder, affalé sur son canapé à passer les chaînes, trouvant rien à regarder à la télé. Il commençait à s’énerver seul chez lui, il finit par se lever et prit une bière dans son frigo, il ouvrit et la but doucement.
Il allait à nouveau s’asseoir sur son canapé quand il reçut alors un sms de son grand frère Hansel. Qu’est ce qui lui voulait? Il se rappelle qu’il avait un frère? Ou alors s’est peut être pour lui annoncé qu’il ne voyait plus le réfugié. Ca, il peut toujours le rêver, s’est sûr, il consulta alors son message et soupira, son frère l’invitait à manger chez lui et qu’il avait quelque chose à lui dire.
Il regarda alors l’heure et vit qu’il avait encore un peu de temps devant lui avant de se rendre chez Hansel et l’autre idiot si bien évidemment, il y habitait toujours.

Il termina alors de boire sa bière et partit rapidement à la douche, pour être un minimum présentable devant son frère et l’autre ahuri qui lui sert de copain. Il fermait les yeux et repensait à tout ce qu’il a vécu jusqu’à présent, laissant couler doucement l’eau sur son corps légèrement bien dessiné et musclé. Il resta pendant un moment comme ça sans rien faire et finit par sortir de ses pensées. Il finit par terminer sa douche et sort de celle-ci, il alla alors dans sa chambre pour s’habiller.
Dès qu’il fut prêt, il prend alors ces clés de voiture et part alors en direction de chez son frère et de l’autre imbécile.
Arrivé là bas, il gara alors sa voiture et toque à la porte de chez son frère et attend qu’on vienne alors lui ouvrir.
Il demandait bien qu’est ce que Hansel allait lui annoncer? Il espère juste rien de grave, il attend alors au seuil de la porte les bras croisés, ces beaux yeux bleus ciels scrutés la porte sans rien dire.