Sauvetage enneigé - Rosalie - Pendant le blizzard

Rosalie avait prit la décision, complètement douteuse, d’aller se promener sur la plage, elle avait une journée un peu plus complexe en ce moment, niveau émotion ça n’allait pas trop. Elle s’ennuyait beaucoup de sa mère, elle avait vécu un petit moment de tristesse coucher dans le lit de sa mère avec une de ses couvertures, pour finalement décider de faire fit de la météo et aller donc seule sur la plage, en solitaire, juste elle et la mer.

La veille son père lui avait proposer de venir le rejoindre dans sa maison pour éviter qu’elle ne reste seule, mais elle avait refuser au vu de son activité avec son amie, elle était encore jeune et oui ses amies étaient très importantes, enfin pour celle qu’elle avait encore après tout ce qui s’était passer bien sûr !

Cependant, pendant qu’elle marchait à pleurer, elle ne remarqua pas du tout la branche enfin le tronc qui sortait du sable, c’était un endroit ou les arbres venaient proches et donc oui c,était plus complexe à gérer pour sa part. Voilà qu’elle tomba, sa cheville était bleuté, et très douloureuse, son cellulaire avait été quelques pieds plus loin,

Ce qu’elle n’avait pas prévu, c’était que la neige tombait, bon oui c’était froid dehors, mais les émotions avaient envahit son corps et donc elle était en t-shhirt avec un pantalon trois quart, mais là elle sentait la neige s’accumuler, elle grelottait et n’Arrivait pas à se déplacer d’où elle était, elle pleurait à chaude larmes, mais elle avait aussi sa bouche qui ne cessait de grelotte bien sûr !

« Papaaaa » Dit-elle en éclatant en sanglot, elle apprécia la chaleur de la couverture sur ses épaules bien sûr ! « Je suis sortie parce que parce que maman…maman je m’ennuyait et j’essayais de me changer les idées, mais mon pied a prit dans cette stupide racine et là je n’arrive plus à me lever papa…mon cellulaire je ne sais pas ou il est il est tomber » Dit-elle en pleurant doucement, elle se colla un peu « Papa je m’excuse » dit-elle en essayant de se contrôler, mais non ce n’était pas facile, le flow de peur, de froid, de sa mère de son père, de jacob !

Rosalie avait eu différentes phases depuis qu’elle savait que son père était vivant, mais non seulement vivant que c’était un de ses tontons qu’elle aimait profondément, elle avait toujours eu un lien spécial avec Ethan, enfin maintenant elle comprenait que sa mère avait cultivé ce lien entre les deux volontairement et pour une excellente raison, soit celui qu’il était son père Rosalie avait bien sûr apprécié que son père garde le secret, avant de sentir qu’elle était prête à l’apprendre, en plus, était prête à tout ça, ça faisait en sorte qu’elle avait accueillit son père et qu’elle reprenait le temps perdu. En plus, elle avait toujours peur de déranger, mais surtout, elle ne voulait pas que ses tantes et ses oncles s’inquiètent trop pour elle, alors oui c’était plutôt complexe.

Elle n’avait à ce jour, accueillit encore personne à l’étage, non en bas il n’y avait pas grand-chose qui avait changer, mais de là à concevoir qu’elle avait encore sa chambre de petite fille, et sa mère la sienne, c’était totalement autre. Enfin, voilà qu’elle avait été se promener et que sa vie était de la merde, en ce moment elle était sure qu’elel allait mourir transformer en bloc de glace. Quand elle était avec son père,s oudainement, elle se donnait le droit de ne pas être la jeune fille trop responsable, elle se ressentait enfant, ou adoslecente et ça lui faisait du bien dans sa vie de maturité et de responsabilité. Enfin, surtout depuis qu’elle avait mit dehors son beau-père ! Elle s,était excuser, elle pleurer, grelottait.

« Oui papa, une chance que tu es venu » Dit-elle en essayant d’arrêter de pleurer, elle essuyait ses larmes, mais profitait du peu de chaleur qui lui arrivait, elle avait si froid elle ne pensait pas retrouver sa température un jour, tellement c’était horrible ! Cependant, le bisou de son père, lui procura une énorme chaleur et elle lui souria un peu !

« Oui d’accord papa, je me tiens après toi » Dit-elle en grimaçant de douleur quand il l’a déplaca, surtout son pied qui avait été pris, avant que son père ne l’a sorte. Elle se tenait après lui, elle grelottait dans ses mains, incapable de se réchauffer pour le moment. Elle le laissa l’attacher, elle lui souria un peu ! « Oh oui papa merci vraiment » C’était comme si sa mère lui avait envoyer son héros, son père était vraiment un héros à ses yeux !

Elle pleurait de soulagement en ce moment, soulagé d’être avec son père ! « Ça me fait un peu mal, mais oui papa je sui vraiment mieux, j’avais tellement peur seule sur la plage, j’avais peur de mourir toute seule comme ma vie avant que tu sois mon père et que je retrouve Jacob » Dit-elle en pleurant de nouveau, en regardant autour d’elle !

Pour réponse à sa première affirmation, je lui avais fait un bec sur le front.  Doucement, j’avais essuyé ses larmes comme je l’avais pu.  Bref, j’essayais du mieux que je le pouvais de la réconforter avec les moindres moyens que j’avais à ma porter.  Je n’avais qu’une idée en tête c’était de la mettre au chaud le plus vite possible, afin qu’elle ne meure pas d’hypothermie. Évidemment, je ne voyais plus vraiment clair et peut-être que mon jugement était un peu faussé, mais c’était juste à ça que je pensais en ce moment.  Je l’avais donc installée doucement dans l’avion!  La grimace n’avait pas passée inaperçue, mais je n’y pouvais malheureusement rien en ce moment.

« Ce n’est rien Rosie! »

Dis-je avec une voix assez douce, enfin aussi douce que je le pouvais.  Je me voulais le plus rassurant le plus possible.  Une fois installé, j’étais donc entrain de mettre mon avion en marche alors qu’elle me répondait sur son confort.  Je ne pensais donc qu’à une chose en ce moment, c’était non seulement la mettre en sécurité, mais la mettre au chaud aussi.

« On ira voir un médecin dès qu’on pourra Rosie »

Je prends sa main et donne un bec dessus. Certes, j’étais un célibataire endurci, mais ma fille était maintenant la personne la plus importante dans ma vie.  J’aurais eu vraiment du mal à me remettre si je l’avais perdu.

« Je t’avertis, ce ne sera surement pas le vol le plus calme de ta vie, mais bientôt on sera chez moi! »

On pouvait sentir doucement l’avion quitter le sol. Je n’avais pas manqué un truc, c’était qu’elle semblait perdue en ce moment, ça n’était pas tomber dans l’oreille d’un sourd.  À vraie dire, j’appréhendais un peu le vol, mais il fallait à tout prix que je mettre Rosalie en sécurité.

Rosalie s’en voulait à la fois et en même temps, quand elle avait décider de sortir de chez elle, c’était par petit moment de détresse psychologique. Bien sur que la demoiselle se sentait seule par moment, parce qu’elle avait sa famille, son papa, elle avait renoué avec son meilleur ami et son crush Jacob, elle était à la fois bien entourée et à la fois elle ne voulait vraiment pas déranger et c’était assurément là un gros défaut à travailler. Elle avait été forcée de vieillir trop vite depuis son adolescence, avec ses viols, sa mère décédée, ses nombreuses années en centre jeunesse, son beau-père qui avait essayé de la voler, puis sa vie d’Adulte à devoir gérer le terrain, les comptes, etc.

Cependant, oui elle se permettait un peu plus d’être un enfant avec son père, parce que depuis qu’il lui avait apprit, elle se sentait encore plus protégé avec lui, il avait des gestes paternel envers elle, comme ce bec sur le front et ça lui faisait vraiment un gros sentiment de sécurité. Elle avait vraiment froid, et le froid engourdissait un peu son mal en plus, bon quand elle finirait par dégelé, la douleur de ses membres qui reviennent à une température normale, avec la douleur de sa cheville, personne ne donnait cher de sa peau. Rosalie n’était pas du genre à se plaindre. Elle lui souria un peu ! « Je me sens vraiment mieux depuis que tu es là papa vraiment, ça me rassure beaucoup »

Dit-elle en le regardant, elle était vraiment reconnaissante de ce qu’il faisait. Et elle voulait lui faire comprendre que oui ça fonctionnait un peu, elle était largement moins désemparé, largement moins apeuré et surtout rassurée. Elle adorait que son papa l’appelle Rosie, c’était son petit surnom juste à lui et ça c’était très précieux. « Oui, mais je crois que quand j’aurai chaud ça ira mieux, je suis déjà mieux » Bon non elle n’avait pas peur des médecins, mais un peu quand même, parce que ça remontait à la mort de sa mère et de son internement bien sûr !

Après tout, la jeune fille avait arrêter tout traitement psychologique depuis qu’elle était sortie et dieu sait qu’elle en aurait encore de besoin, surtout avec les séquelles psychologiques qu’elle avait. Cependant, malgré tout elle avait quand même un équilibre de vie…enfin le plus possible, elle gagnait bien sa vie du moins. Elle osuria à son papa quand il lui donna un bec sur la main.

« Oui d’accord, je vais me préparer, j’ai déjà hâte d’y être » Dit-elle en se tenant après sa ceinture, non ce n’était pas le premier vol avec son père, il était un pilote hors pair. Alors non sa crainte n’existait pas, elle grelottait pour essayer de conserver sa chaleur et elle commençait déjà à sentir un peu de douleur dans ses membres qui se réchauffait.

Rosalie se sentait clairement mieux en présence de son père en ce moment, premièrement elle était avec la personne en qui elle avait le plus confiance sur la terre, il était son père et elle savait qu’il ne laisserait rien lui arriver, enfin sans venir à sa défense, comme en ce moment où il avait quand même prit son avion avec autant de dangerosité. Bon elle ne pouvait pas dire qu’elle n’était pas reconnaissante, elle était congelé, avec une cheville qui clairement était plus que foulée, voir probablement fracturée, bleuté, mais pas encore trop douloureuse ou vu du froid.

Voilà qu’elle était dans l’avion de son père, à quelques minutes de chez lui, un endroit chaud sécurisant. Dans le ciel, rien n’augurait une tranquillité du vol. Rosalie avait quand même un moral plus bas que d’habitude nécessitant un silence par moment, perdu dans ses pensées et aussi ironiquement que cela est possible, elle n’était pas autant stresser dans les airs que lorsqu’elle était seule au sol. Bon plus ça avançait, plus son père était silencieux, les yeux sur le ciel, plus elle stressait un peu, bien qu’il le cachait très bien, il était clairement moins détendu que tous les autres vols qu’ils avaient fait ensemble.

Bon voilà, bientôt ils allaient atterrir et elle commençait à respirer un peu plus normalement,e lle grimaçait de douleur par moment, parce que ses membres dégelaient et donc lui créait des picotement, des douleurs par petits moments. Pendant qu’elle regardait du haut les lumières, la neige, le vent, enfin tout le drame, elle avait totalement confiance en son père. Cependant, une grosse bourrasque vient faire chier et surtout impacter le vol, l’atterissage.

Bien que Rosalie, complètement paniquée en sentant et voyant que son père ne semblait rien contrôlé, elle sent les larmes lui monter aux yeux, des pensées qu’elle irait peut-être rejoindre sa mère, qu’au moins elle était avec son père, mais surtout qu’elle aimait Jacobi. Voilà que l’avion s’écraser, causant une douleur immense à son pied fracturé, puisque par réflexe Rosalie avait essayer de se redressir. Elle lâcha un cri avant de perdre connaissance !

Cependant, cela lui cause clairement un peu de bien en ce moment, elle ne comprenait pas ce qui se passait, enfin avant de perdre connaissance, là ils étaient dans des arbres, elle fini par sursauter doucement et hurler de douleur doucement ! « Pa…pa…pa…pa » Dit-elle en tentant de comprendre la fatigue qui menaçait de l’a ramener dans une inconscience ! « Ça va ? C’est quoi ? » Dit-elle en tentant de rester calme, soudainement elle s’en voulu d’avoir sortie, sinon son père serait en sécurité au chaud !